Pourquoi le décodage dentaire ? Pour retrouver votre joli sourire physique et psychique!
Lorsque je me suis penchée sur le décodage dentaire, j’ai regardé ma bouche devant le miroir et j’ai été stupéfaite : les deux dents qui ont des plombages sont en exacte symétrie.
C’est exactement la remarque que Christian Beyer, s’est fait en tant que dentiste avant de se pencher sur les causes profondes de ces symétries récurrentes et qui l’ont mené au décodage dentaire.
Comment un microbe fait-il pour attaquer le même endroit de la dent cariée mais de l’autre coté de votre mâchoire en symétrie exacte au lieu d’attaquer la dent d’à côté?
Réponse : cela dépend de ce que la dent signifie ! Si vous voulez sourire sans cacher vos dents et retrouver la joie de vivre, vous aurez fortement intérêt à vous pencher sur le décodage dentaire!
Cet article est écrit dans le cadre de la Croisée des blogs, organisé ce mois-ci par Patricia du blog « attention, bonheur possible » sur le thème de « ré-accueillir la joie« .
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Décodage dentaire : les dents parlent mieux de vous que vous !
Ce que j’aime dans le thème de ce mois-ci (la joie), c’est qu’il suppose qu’on peut l’avoir perdue.
J’ai vu beaucoup de personnes souffrantes autour de moi (sans compter mon pied cassé) ces dernières semaines et je sais qu’avec la maladie, c’est souvent la joie qui s’éclipse en premier.
Malgré tout, la manifestation de la pathologie dans le corps est le moyen qu’a le corps de solutionner une souffrance psychique, c’est le propre du décodage biologique.
Tant que les souffrances sont refoulées dans votre subconscient, vous n’y avez pas accès. Elles limitent votre bonheur mais vous ne le savez pas.
Dès que le corps est touché, ces mémoires deviennent accessibles et vous pouvez commencer à les « travailler » ou les nettoyer si vous êtes familier(e) de la méthode Ho’oponopono.
Le décodage dentaire fait partie du décodage biologique
Fort heureusement, ce n’est pas votre réflexion (ou vos émotions) qui vous maintient en vie, toutes vos fonctions vitales sont orchestrées par le tronc cérébral et votre système neuro-végétatif.
Vous ne pouvez donc pas vous empêcher de respirer très longtemps consciemment! Pourtant, ils ne sont pas les seuls, tout votre système se mobilise pour vous maintenir en vie, les dents y compris.
Si on considère qu’une dent est appelée « organe dentaire » et que le but de chaque organe est d’assurer la santé et la survie, alors les modifications de la dent (déchaussement, espaces, caries etc) ont aussi pour but d’assurer la survie de l’être humain.
La dent (comme tout organe) reflète votre vécu et peut vous aider à comprendre ce qui se passe en vous, là où vous n’êtes pas conscient de vos souffrances (ou mémoires).
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Décodage dentaire: Comment une difficulté psychologique peut-elle affecter votre corps ?
Vous êtes-vous déjà aperçu qu’une pensée ou une émotion peut modifier votre chimie intérieure ?
Lorsque vous vous sentez pétillant et rempli de joie, vous avez le buste droit, les épaules dégagées et le sourire accroché.
A l’inverse, lorsque vous vous concentrez sur la pensée : « c’est difficile, je ne suis pas très doué, je ne vais pas y arriver », vous pouvez noter une modification de votre posture.
Vous avez les épaules qui se rentrent, votre dos qui s’arrondit, la tête qui s’affaisse etc…c’est pourtant juste une pensée mais elle change votre biologie.
De même, si vous pensez à un citron bien frais dans lequel vous croquez, vous pouvez vous surprendre à saliver.
C’est bien une pensée qui modifie votre chimie intérieure. Ainsi, votre cerveau réagit (même si c’est moins fort) autant au citron concret qu’au citron virtuel.
De même, lorsqu’une de vos dents est touchée, c’est qu’une pensée, une émotion ou une mémoire se rappelle à vous afin de libérer une souffrance méconnue qui vous limite mais dont vous n’avez pas conscience.
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Le stress et les dents en décodage dentaire
En temps normal, vos dents sont protégées et re-minéralisées par le flux dentaire. Si vous êtes joyeux et vivant, vous avez toutes chances d’avoir des dents saines.
En cas de stress prolongé, le flux est annulé. Il en est de même pour toutes les cellules des autres organes.
Le stress mobilise tout l’organisme pour rester en vie. Les fonctions qui ne sont pas urgentes sont laissées de côté le temps de parer à l’agression du système.
Vous vous souvenez que le cerveau ne fait pas la différence entre le fait que vous mangiez un citron ou que vous pensiez manger un citron. Dans les 2 cas, il va se mettre à saliver comme si le citron était bien réel et séparé de vous.
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Dans le cas du stress (c’est à dire la façon dont vous vivez les évènements de votre vie), il va en être de même : le cerveau va enregistrer les pensées stressantes comme si c’était un ennemi à l’extérieur à combattre.
Ainsi,
- l’apport de nourriture aux cellules
- le nettoyage des déchets
- l’immunité
ne sont pas prioritaires et laissés en suspens le temps de parer à plus urgent.
Laissez-moi faire une analogie avec la flotte d’un pays en temps de guerre. Tant que le danger n’est pas en vue, il y a ceux qui:
- pêchent et font la cuisine
- ceux qui lavent et s’occupent des ordures
- le médecin qui vérifie que l’équipage est en bonne santé, etc…
Dès que l’ennemi est en vue, tout le monde se met en joue sur le pont, le cuisinier, le videur de poubelles et le médecin. Temporairement toute autre activité que la défense est suspendue.
C’est aussi ce qui se passe au niveau de corps si le stress n’est pas enrayé rapidement.
Les dents n’étant plus immunisées, elles deviennent perméables aux acides et c’est le début d’une carie. Voilà pourquoi vous pouvez avoir des caries même si vous vous brossez les dents 3 fois par jour !
Voila aussi pourquoi des personnes qui mangent du sucre n’ont pas forcément de caries !
Il est urgent de cesser de mettre les caries sur le dos du sucre (même s’il est dangereux en grosse quantité) et de se pencher sur la souffrance qui limite l’immunité…
Vos enfants seront reconnaissants de l’intérêt que vous portez à leurs difficultés (s’ils ont des problèmes de dents) au lieu de réduire leurs souffrance à un mauvais brossage des dents !
Le décodage dentaire est donc une technique qui permet de décoder les messages de votre inconscient. Il donne un sens à votre douleur dentaire, votre abcès, vos caries, l’espace entre vos dents etc…
Plus encore chaque dent est une facette de votre personnalité et représente un domaine de votre vie, affective, familiale, etc…
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Les dents sont les trente-deux lettres de l’alphabet personnel que l’inconscient utilise pour transmettre ses messages.
Christian Beyer
En décodage dentaire, les dents sont les vestiges de vos mémoires ancestrales
Le décodage Dentaire révèle aussi les mémoires transmises par vos ancêtres dans le but de vous aider à survivre dans certaines circonstances difficiles.
Malheureusement, lorsqu’il y a transmission transgénérationnelle, c’est surtout pour vous prévenir d’un danger ou vous prémunir contre certaines agressions.
Dommage que la joie ne se transmette pas aussi par les dents! (je vous explique plus loin l’arnaque de l’expression « les dents du bonheur ».
Comment est-il possible de transmettre des mémoires? Parce qu’une dent est composée de cristaux. Dents et os sont les deux éléments qui résistent au temps. Le cristal fixe le vécu et les mémoires, on dit qu’il les « cristallise ».
C’est la raison pour laquelle vous avez intérêt à nettoyer l’aigue-marine de la tante Agathe dont vous avez hérité si vous ne voulez pas hériter aussi de son vécu et de ses mémoires !
Lors de sa fabrication, la dent est issue du tube neural, comme le cerveau. Les deux ont la même souche embryologique.
Tous deux (cerveau et dents) fonctionnent à l’électricité, vous pouvez le vérifier en branchant un voltmètre sur la joue et sur la dent.
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Les deux fonctionnant de concert, chacune de vos dents pousse dans votre bouche en fonction de la maturité de votre cerveau.
Apparition des dents et décodage dentaire selon Christian Beyer
A la naissance un bébé, en principe, n’a pas de dents. Les deux premières qui poussent sont les deux incisives (de lait) en bas de 5 à 10 mois.
La mâchoire du bas (pour le démarrage de vie) étant associée à la mère, le message des dents est clair : il exprime le besoin de rencontrer l’archétype « Mère » pour la survie de son corps.
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Puis ce sont les 2 supérieures de 8 à 12 mois
La mâchoire du haut (pour le démarrage de vie) est associée à l’archétype « Père ». C’est son devenir qui s’inscrit alors par le biais des dents. Le Père est associé à l’esprit.
J’ai écrit « archétype », cela signifie qu’un enfant adopté trouvera auprès de sa famille d’accueil une fonction « Mère » et « Père » même si ce ne sont pas ses parents biologiques.
Viennent ensuite les incisives latérales en haut 9 à 13 mois
Elles sont faites pour la rencontre avec le Père qui se fait au travers su sens de l’ouïe et de la vue. On veut un Père qui nous regarde et nous parle.
Ensuite ce sont les incisives latérales du bas 10 à 16 mois
Elles sont faites pour la rencontre avec la Mère par le biais des sens du toucher, de l’odorat et du goût. Il est question alors de goûter la Mère, la sentir, toucher et être touché.
Ensuite, dans l’ordre:
- les molaires de lait du haut 13 à 19 mois
- les molaires de lait en bas 14 à 18 mois
- les canines en haut 16 à 22 mois
C’est la canine du Père qui arrive en premier. Si on veut vivre, il va falloir s’exprimer par la parole ( fonction père) et rentrer dans le monde de l’esprit.
Puis viennent les canines en bas de 17 à 23 mois. Les nouvelles molaires arrivent enfin, et tout est en place aux environs de 3 ans. A cet âge toute son identité est achevée.
Un enfant de moins de 3 ans n’est pas identifié au « moi »
Jusque là, l’enfant n’a pas conscience de son identité ni d’être séparé. Au lieu de dire j’ai mal aux dents, il dira plus facilement « « Brian a mal aux dents ».
Il n’est pas non plus totalement identifié à son prénom ni même au fait d’être un garçon ou une fille. C’est la première chose qu’on va lui apprendre en maternelle.
Il a conscience d’avoir un corps mais pas de conscience d’un « moi ». C’est la raison pour laquelle, vous n’avez pas de souvenir conscient avant 3 ans.
C’est aussi la raison pour laquelle un enfant s’identifie facilement aux émotions de ses parents et prend la teinte de l’environnement local, il n’a pas de « je » pour relativiser tout ce qu’il vit.
Voilà pourquoi les thérapies quantiques comme la technique TIPI fonctionnent, elles ne font pas appel à l’intellect mais bien aux sensations du corps.
C’est enfin la raison pour laquelle le travail sur la psychologie des couleurs est efficace, il fait appel à la vision (incisives latérales de 9 mois) et pas forcément à l’intellect.
A partir de 3 ans, « Je » se positionne au niveau de la mâchoire inférieure. L’archétype « Père » se met à droite (en miroir par rapport à l’illustration) et l’archétype « Mère » se met à gauche.
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Ce n’est d’ailleurs pas très important de savoir si le père est à droite ou à gauche : si c’est votre mère qui met les limites et qui a l’autorité, vous la vivrez en haut à droite !
Avant 3 ans, comme il n’y a aucun « je » qui décide ou qui fait, c’est comme si, jusque là, l’enfant n’était que le reflet des mémoires et de l’inconscient de ses parents.
» Je » se construit sur ce qu’il voit et entend…si sa mère pense « je n’y arriverai jamais en tant que mère» et son père pense « je suis nul comme père », l’enfant construit un sens du « je » qui est nul et qui n’y arrivera jamais.
Comme il n’a aucune idée d’où lui vient cette réflexion, il l’a prend pour argent comptant et se définit rapidement ainsi.
Mutation de l’enfant de 6 ans
A partir de 6 ans, quelque chose de nouveau se passe : apparition des hormones sexuelles en même temps qu’une molaire définitive
C’est le moment de se relier à la notion de famille du côté de la mère et du clan (les liens du sang) du côté du Père.
A partir de ce moment, l’enfant est intégré dans un système d’appartenance. Il est autonome (il a un corps séparé) mais n’a pas encore la liberté de penser par lui-même.
Il n’a pas la capacité de relativiser ce qu’il vit. S’il ne reçoit pas d’affection, il en conclut que c’est lui qui ne va pas. Il lui est impossible avant 12 ans de remettre réellement ses parents en question.
Si c’est l’âge où nait la petite sœur ou le petit frère, c’est la « cata » ! Dans son imagination, quelqu’un (de mieux que lui) vient lui prendre sa place. La preuve, le dernier né est l’attention de tous les regards !
N’allez pas croire ce qu’on raconte, que si vous avez un petit frère ou une petite sœur qui nait avant vos 3 ans, vous n’en souffrirez pas.
Non seulement la souffrance que vous éprouvez est incompréhensible mais en plus, vous n’êtes même pas un « je » qui peut se plaindre.
Les enfants qui naissent d’un retour de couches, n’ont pas eu le temps de rentrer en contact par la parole (canines 16 mois) que déjà l’attention des parents est tourné vers un(e) autre.
Vous n’êtes pas prêt de parler ni de sentir la confiance du lien qui se tisse avec le père et la mère.
La souffrance que vous ressentez est un peu comme le citron de tout à l’heure, elle modifie votre biologie et se marque aussi sur les dents.
Encore une fois, si vous avez besoin d’amener votre enfant chez le dentiste avant 6 ans, c’est qu’une souffrance intérieure n’est pas exprimée, lâchez-le un petit peu avec le brossage inefficace des dents!
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Autonomie de pensée de l’enfant de 12 ans
A 12 ans, ce sont les 2 ème molaires définitives. Vous devenez enfin autonome au niveau de vos pensées.
Après l’apparition des hormones sexuelles à 6 ans, c’est le réveil de ces dernières. Vous pouvez enfin dire qui vous êtes sauf si vous vous sentez menacé au niveau de l’appartenance à la famille et/ou au clan.
Dans ce cas, vous ne prenez pas le risque de déplaire en ne pensant pas comme la famille et en ayant des valeurs différentes. Vous êtes un ado modèle qui ne fait pas sa crise mais vous le payerez plus tard!
A partir de cet âge là, toutes les interprétations personnelles sont permises. Si vous ne recevez pas d’affection, ce n’est plus parce que vous n’êtes pas comme il faut, c’est qu’on ne vous aime pas!
C’est l’âge où on s’imagine avoir été échangé à la naissance ou venir d’une autre planète. Si vous êtes un parent, à partir de cet âge-là, quoi que vous fassiez ou disiez, ce sera toujours interprété par votre ado.
L’adolescence c’est aussi l’âge où certaines grosses pathologies apparaissent comme la bipolarité, les problèmes de thyroïde avec Hachimoto, etc…
Pourquoi cela ? Mis à part l’hérédité, c’est parce que c’est l’âge de l’interprétation. Ce n’est plus ce qui vous arrive qui marque dans le corps mais la façon dont vous l’avez ressenti et interprété…
Pour en revenir encore à l’analogie avec le citron, ce sont les pensées et les ressentis vécus suite aux évènements qui marquent dans le corps…et les dents en particulier.
Autonomie de vie à 18 ans
C’est à partir de 18 ans qu’apparaissent les dents de sagesse (la 3 ème molaire). Vous devenez capable de faire des choix.
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Pas étonnant que la classe de 4 ème et la seconde soient un casse tête au niveau de l’orientation des ados : ils n’ont pas la capacité de choisir biologiquement parlant ! A 18 ans, C’est aussi le moment où on peut enfin vivre seul.
A partir de là, votre bouche se divise en 4 cadrans : en haut ce sont les archétype Père et Mère ainsi que les mémoires.
Ces dernières sont transmises par le clan (par exemple, exil, spoliation, famine etc…) du côté du Père et les mémoires relationnelles familiales (la relation entre votre père et votre mère par exemple) le sont par la mère au niveau de la mâchoire supérieure.
Pour la mâchoire inférieure, c’est tout ce que vous faites comme interprétation de ce qui vous arrive et la façon dont vous gérez les mémoires transmises.
Vous avez dans la bouche, l’éventail de vos mémoires acquises et la façon dont vous les vivez.
Compte tenu de ces informations, en fonction de la dent touchée et de l’âge auquel vous en souffrez, vous avez le thème de votre problème et vous pouvez en déduire l’évènement récent qui vient d’activer une mémoire.
Quelques pathologies de la dent et leur décodage:
Qu’est ce qu’une carie ? Comme nous l’avons vu en décodage dentaire, c’est la réponse du corps (et du cerveau qui le dirige) face au stress et à la souffrance refoulée :
L’objectif de la carie: détruire la dent dans l’optique éradiquer la mémoire qu’elle porte. La souffrance psychique étant enregistrée comme dangereuse (ou ennemie) pour la survie du corps, le cerveau cherche à l’évacuer.
Pour cela , il n’hésite pas à sacrifier la dent pour la préservation de l’espèce. Pourtant, rien n’est résolu : la souffrance reste intacte si vous vous soignez les dents sans prendre conscience de ce qui a causé le problème.
Voici le décodage dentaire de quelques pathologies :
Dents écartées devant (dents du bonheur)
Elles révèlent un problème d’identité. Le système parental a encore trop d’importance que ce soit dans les sens de suivre le modèle ou se battre contre.
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Problèmes aux incisives (même si c’est un accident)
Si les incisives sont touchées (fêlées, cariées, cassée, implant), on s’interroge sur son droit à l’existence par rapport à un des deux parents.
Il y a souvent une atteinte à l’estime de soi, l’image est blessée, profond sentiment de dévalorisation, on ne veut pas ressembler à un des parents.
Candidose buccale ou « muguet »
Elle apparaît chez le bébé lorsqu’il est confronté à un vide affectif qu’il ne peut gérer à cause d’un sevrage de la mère trop précoce. Lorsqu’il apparaît chez un adulte, c’est que ce dernier revisite cette mémoire afin de la nettoyer.
Problème à la 1ère molaire inférieure.
C’est la dent qui symbolise les parents, en tous cas de la façon dont vous les avez vécus, dans une problématique de sécurité matérielle ou affective. ( Souvenez-vous de mon propre exemple avec la photo en début d’article)
Si vous détruisez inconsciemment la molaire qui symbolise votre père ou votre mère affective (par une carie), voire les deux, c’est que vous tentez d’éliminer la souffrance que vous éprouvez.
Les causes peuvent être multiples et sont souvent la répétition d’évènements traumatiques survenus dans la toute petite enfance :
- abandon précoce
- séparation prolongée
- négligence
- parents peu présents (trop de travail ou trop d’enfants)
- adoption (un enfant adopté est aussi un enfant abandonné…)
- décès d’un parent
- déménagement (perte d’un environnement sécurisant)
Vous trouverez dans cet article (cliquez sur le lien bleu), d’autres pathologies expliquées par le décodage dentaire.
Mémoires transgénérationnelles et projet sens en décodage dentaire
Christian Beyer raconte ses expériences à Cuba lorsqu’il s’est aperçu que 80% de la population présentait la même pathologie des dents !
Les incisives centrales inférieures rentrées en « V » vers l’arrière indiquent
que l’enfant a pour projet parental inconscient de « rapprocher papa et maman ».
C’est le cas où le « Papa » travaille loin du foyer, par exemple….Depuis mon passage sur l’île de Cuba, où environ 80% de la population présente cette disposition,
j’ai décidé de baptiser cette disposition du nom de « dents cubaines ». Un hommage à ma façon
à ces gens merveilleux que j’y ai rencontrés…Christian Beyer
Ce dentiste pas comme les autres va même plus loin, il peut reconnaître sur un impact dans l’émail de la dent, une mémoire transgénérationnelle (ou karmique) de moine, d’inquisiteur ou de Croisé !
La dent est donc non seulement porteuse de conflits restés inconscients parce que non gérables par le psychisme mais aussi de mémoires liées à l’inconscient collectif (ou les vies antérieures si c’est votre croyance).
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L’ensemble des mémoires date essentiellement d’avant la naissance et des trois premières années de vie (comme vous l’avez vu en début d’article). C’est la raison pour laquelle vous ne savez pas que vous les portez!
En fait, les caries ne viennent que révéler des conflits réactivés, larvés depuis l’enfance ou la vie intra-utérine qui ne vous appartiennent pas mais dont vous êtes porteurs comme vous avez les yeux bleus de vos ancêtres!.
Votre travail est de les identifier grâce aux dommages sur vos dents, de les « nettoyer » et de modifier ce qui peut l’être dans votre vie et qui les a réactivés.
Le but étant de pouvoir les traiter émotionnellement afin de les libérer à temps pour faire en sorte que vos dents ne soient pas détruites.
La prochaine fois que vous allez chez le dentiste, je vous encourage à être conscient qu’un drame émotionnel a du se jouer dans votre quotidien les semaines précédant la carie ou les jours précédant un abcès.
En même temps que vous faites soigner la dent, n’omettez pas de vous occuper de la mémoire qui se projette dans votre dent touchée. C’est à ce prix que vous pourrez re-accueillir la joie.
Et vous, avez-vous conscience qu’une carie ou un problème dentaire n’arrive pas par hasard? Laissez un commentaire!
Un autre article sur le décodage dentaire:
Dis-moi à quelle dent tu as mal et je te dirai qui tu es!
Un autre article sur le décodage dentaire:
Prouesses et limites du décodage biologique
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Mar 03
Comment lacher prise dans les relations en 9 etapes? Technique Tipi
Développement personnel, Guérison, Relations, technique Tipi
by Hannah
Avant le comment lâcher prise, le pourquoi!
Lâcher prise c’est laisser aller ce qu’on tient avec force. Je me suis posée la question : « qu’est ce que je tiens avec force » ?
Réponse, pas grand chose que je sache (en apparence). Est ce que je me souviens d’objets que je tenais avec force? Jamais très longtemps.
Est ce que je me souviens de situations que je tenais avec force ?
Oui, par exemple, quand mon blog s’est fait hacker, je ne voulais pas que des publicités apparaissent à l’insu de mon plein gré donc oui, je tenais avec force à la « pureté » de mon blog.
Est ce que c’était facile de savoir comment lâcher prise ? Non, tant que le problème n’était pas réglé et surtout tant que je n’avais pas compris ce qui se cachait pour moi derrière cette apparente épreuve.
Cet article est écrit pour la Croisée des Blogs, organisée par Sandrino du blog « Réussir ses relations«
La peur n’est pas facile à lâcher si vous n’avez pas les clés de ce qui la provoque.
Est ce que je me souviens de relations où j’avais du mal à lâcher prise ? Là, je réponds un grand OUI parce que, même quand elles étaient terminées, je continuais à m’accrocher à elles!
Peut-être avez-vous connu aussi :
Alors vous savez que c’est bien la dernière chose que vous avez envie de faire : celle de lâcher prise ou d’apprendre comment lâcher prise!
Toutes les situations où la peur est incluse vous poussent à vous accrocher désespérément mais à quoi ?
Ce que vous voyez de vous-même, c’est que vous tentez de résister, donc vous alimentez la souffrance et vous resserrez la main pour ne pas lâcher prise.
Pourtant, avec un petit travail sur soi et un peu de conscience, il est assez aisé de se rendre compte qu’on est accroché à la situation.
Pour lâcher prise, il faut savoir ce que vous tenez!
Cependant, je vais vous donner plus loin quelques situations où vous ne savez peut-être pas que vous êtes accroché et que vous auriez intérêt à lâcher prise !
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Pourquoi ? Parce que c’est votre inconscient qui tient serré la situation ! Tant que vous croyez savoir ce à quoi vous êtes accroché, vous êtes loin du compte et vous ne saurez pas où vous avez à lâcher prise!
Je suis allée me renseigner chez les collègues du web pour voir un peu ce qu’ils avaient comme conseils à donner pour lâcher prise….
« Apprendre à vivre le moment présent »…dites-moi franchement, êtes-vous vraiment capable de distinguer au présent ce qui vient du présent et les interactions de votre passé dans votre présent ?
Parce que si vous êtes capable de faire cela à chaque instant chapeau! Ce n’est pas mon cas ni celui de ceux que je rencontre.
Comme il n’existe qu’un instant présent, c’est le point de convergence de tous les espaces-temps, pas seulement de votre présent!
Lâcher prise ou réactivité, pas si simple!
Laissez-moi vous donner un exemple pour comprendre de quoi je parle.
Vous entrez dans la chambre de votre ado pour lui demander de ranger sa chambre et il vous parle mal, d’ailleurs ce n’est pas la première fois qu’il est provocateur et insolent à votre égard.
Si vous préférez utiliser un adulte plutôt qu’un ado (un parent, un(e) conjoint(e) etc…) à qui vous demandez un service et qui vous envoie sur les roses, vous allez voir, ça fonctionne aussi !
Que faites-vous ?
Y a t-il d’après vous une des 5 solutions qui soit plus adéquate? Et ne me dites pas que vous n’avez pas reconnu un de vos schémas !
La solution est : aucune. Pourquoi ? Parce que, dans les 5 cas, vous êtes dans la réactivité.
Et si vous êtes dans la réactivité, c’est que vous êtes accroché… comment auriez-vous même l’idée d’un lâcher prise puisque vous ne savez pas ce que vous tenez !
Vous avez à peine senti ce que la situation avait provoqué en vous que vous étiez déjà en train de:
Si vous pensez que lui parler gentiment sans violence en le culpabilisant n’est pas de la réactivité, c’est que vous ignorez peut-être votre peur, votre tristesse ou que votre colère est refoulée.
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Vous voyez que ce n’est pas si simple de savoir à quoi on est accroché avant de penser à lâcher prise…
Attendre que votre ado ait 18 ans pour en être débarrassé ou penser quitter votre compagne (on) n’est pas non plus ma notion de lâcher prise mais plutôt celle de la fuite !
Ce fameux moment présent que vous croyez vivre est encore empreint de votre passé et vous ne vous en êtes même pas aperçu. N’imaginez pas pouvoir lâcher prise.
Le deuxième conseil du web sur comment lâcher prise, c’est « apprenez à méditer ». Pour avoir pratiqué pendant de nombreuses années la méditation, je sais qu’elle ne prépare pas forcément à ne pas être réactif dans ce type de situation.
Pour certains, elle peut même éloigner du vrai ressenti, dans une façon toute relative de ne pas se sentir concerné mais ceci ne concerne que moi bien entendu!.
Je suis d’accord avec vous, la méditation c’est formidable mais ce sont surtout des gammes. Lorsque vous jouez un vrai morceau devant quelqu’un, vous quittez la plupart du temps l’instant présent.
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Alors comment lâcher prise dans cette situation ?
A) Tout d’abord reconnaître votre désir de contrôler la situation ou la personne, puis votre impuissance totale à la contrôler. Le désir de contrôle est là pour vous sécuriser mais c’est l’antithèse du lâcher prise !
B) Une fois que vous avez reconnu ce désir de contrôle et cette impuissance à le faire, notez l’émotion que cela crée en vous. Peur ou tristesse ?
Si c’est la colère qui monte en premier, c’est que vous n’avez pas senti votre impuissance à changer la situation, surtout si elle dure depuis un certain temps, voir depuis tout le temps ! Cherchez la peur ou la tristesse qui se cache derrière votre colère en vous recentrant sur l’impuissance.
Lorsque vous sentez l’émotion, sachez qu’elle appartient à une partie de vous-mêmes qui n’est pas au présent.
C’est sans doute un enfant enfoui, terrorisé par un parent violent (au moins dans les mots) ou un éducateur, un grand frère (soeur) etc…
C’est peut-être la peur de sentir une réaction dérangeante dans votre corps alors si les émotions n’étaient pas permises dans votre milieu familial et que vous ne deviez rien montrer .
Si c’est de la tristesse, c’est un profond sentiment de solitude qui découle du fait de ne pas pouvoir être en lien.
La tristesse est aussi l’émotion d’une partie enfouie de vous-même, peut être un enfant habitué à entendre des disputes et qui ne trouvait pas de bras réconfortants tant ses parents étaient occupés à se chamailler.
Tant que vous n’avez pas pris conscience de tout cela à l’instant même où la personne vous parle mal, vous êtes en réactivité et vous avez quitté l’instant présent.
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Une fois que ceci est fait, vous avez déjà réussi à lâcher prise sur la situation car vous avez reconnu les ingrédients du passé auxquels vous étiez accroché, vous pouvez de nouveau être heureux!
Vous n’êtes pas obligé de tout comprendre en un instant, juste sentir ce qui se passe en vous et ne pas y réagir immédiatement.
C°) Dépendamment de votre état, à ce moment là, vous pouvez soit :
Voilà une véritable séance de lâcher prise, vous voyez qu’il y a du boulot pour en arriver là tout en restant présent et en lien avec la personne qui, en apparence, vous a fait du mal!
Car c’est, bien entendu, toujours à l’endroit où ça fait le plus mal.
Au cas où vous n’auriez pas réussi à lâcher prise au cœur même de la la discussion houleuse...
Si l’exercice de simultanéité vous parait encore hors d’atteinte, examinons un peu ce qui se passe lorsque vous n’avez PAS réussi à lâcher prise sur la situation.
Vous quittez la pièce stressé, triste (sans le savoir), en colère (en le sachant), déçu, dans le déni (sans le savoir), coupable (sans savoir ce que ça cache), amer à propos des ados ou des hommes (sans savoir que vous généralisez), inquiet (sans comprendre pourquoi), rejeté ou blessé.
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Le travail de lâcher prise peut alors commencer si vous avez décidé de ne pas ruminer toute la journée, de ne pas vous mettre au lit ou aller voir une comédie musicale au cinéma.
Comment lâcher prise en 9 étapes
1°) La motivation pour lâcher prise
Trouvez en vous un véritable désir de lâcher prise pour ne pas vous imposer cet état générateur de basses vibrations qui va, par la loi d’attraction, vous apporter d’autres situations stressantes à gérer.
C’est une véritable décision à prendre. Vous pouvez aussi choisir de rester accroché ou ne rien choisir du tout car vous n’avez aucun recul et aucune conscience d’avoir été activé par la scène.
Sachez qu’appeler vos parents ou vos amis pour un conseil ne vous fera sans doute pas lâcher prise, vous allez juste réussir à vous plaindre et vous dé-responsabiliser.
Ouvrir le pot de Nutella ou la boite de gâteaux vous permettra juste d’endormir vos émotions avec le sucre.
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2°) Surprenez-vous à vous juger pour pouvoir lâcher prise
Arrêter de vous traiter de nul et d’incapable sous prétexte que vous n’avez pas su gérer la situation. Acceptez ce qui est.
Souvenez-vous que si c’est une partie de vous qui inconsciemment rejoue la scène afin que vous puissiez nettoyer votre blessure, vous n’avez aucun pouvoir de l’en empêcher.
3°) Voyez-vous juger l’autre sans retenue pour apprendre à lâcher prise
Sentez votre désir de juger l’autre, de nul, de violent, d’incapable, de C.. avec la panoplie de noms d’oiseaux etc…
Rappelez-vous qu’un jugement est une blessure du cœur qui vous appartient et que l’autre vous renvoie.
Sachez aussi que ce que vous jugez chez l’autre (son égoïsme et sa violence) est exactement ce à quoi vous avez été confronté alors que vous n’étiez pas en capacité de vous en extraire.
Cela ne signifie pas nécessairement que vous ayez été violent mais plutôt que vous avez été soumis à la violence. Il est normal que, dans la redite, vous perdiez votre calme.
Votre jugement sur l’autre est précieux car il vous donne la mesure exacte de ce à quoi vous avez été confronté.
4°) Souvenez-vous que vous êtes dans une projection pour pouvoir lâcher prise.
Vous projetez votre passé sur cette scène, c’est pour cela qu’elle vous paraît traumatisante. Qui, au fond de votre subconscient, est cette personne qui vous agresse, vous rejette et ne veut pas de lien avec vous ?
Ne faites pas trop longtemps la confusion: votre ado n’est pas votre père, votre conjoint n’est pas votre mère…
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5°) Renoncez temporairement à votre objectif louable d’être un bon parent pour cet ado, une bonne épouse pour votre compagnon ou un bon fils pour vos parents afin de lâcher prise.
Il est question d’une blessure profonde, la partie de vous qui est blessée est encore jeune, elle n’est pas mariée et elle n’a pas d’enfants !
Faites le deuil de la croyance « il faut » ou « je dois » être un parent exemplaire, une compagne douce et aimante ou un enfant reconnaissant.
Vous êtes humain et vous avez été touché : vous êtes hors jeu pour quelques minutes.
6°) Accueillez en vous l’enfant blessé pour lâcher prise
Je parle de cet enfant en vous qui a souffert de rejet, de solitude, d’abandon ou de mauvais traitements et avec lequel vous n’êtes pas très familier (e) sauf pour le pousser à se soigner.
Laissez-le vous montrer ce à quoi il a été confronté très jeune sans pouvoir se défendre ou se plaindre, ne cherchez pas à vous en débarrasser rapidement avec une bonne thérapie..
Abandonnez-vous temporairement (et loin de la scène initiale) à la vulnérabilité qui est en vous à cet instant.
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Devenez un bon parent pour cet enfant blessé en vous et ne vous préoccupez plus des acteurs de votre vie d’aujourd’hui avant d’avoir soulagé cet enfant en vous.
7°) Méfiez-vous des bénéfices secondaires de la maltraitance pour lâcher prise
Je sais que cette notion n’est pas facile à comprendre. Apprenez à mesurez le bénéfice secondaire que représente cette scène avec votre fils ou votre conjoint.
Pendant que vous vous prenez le chou avec un ado en 2015 qui reste votre fils et qui est encore dépendant, vous ne prenez pas beaucoup de risques…
C’est quand même plus facile de tenter de régler votre blessure avec lui en 2015 que d’être aux prises, enfant, avec un parent violent, alcoolique ou bipolaire, non?
C’est bien cet enfant en vous dont je vous parle qui souffre aujourd’hui. Il vous fait revivre une scène ancienne afin que vous puissiez soigner votre plaie, pas pour que vous déclariez la guerre à votre ado !
8) Centrez-vous sur les besoins pour lâcher prise
Au final, posez-vous la question : qu’est ce que j’aimerais vivre avec mon fils ? Quel est mon véritable besoin ?
Soyez prêt à l’exprimer face à votre ado (ou votre conjoint(e)) lorsque le moment sera venu d’en discuter avec lui (elle).
En attendant, mettez-vous quelques minutes à l’écoute de ses besoins à lui (elle). Mettez-vous dans ses baskets afin de déterminer les raisons possibles pour lesquelles il a été irrespectueux.
De quoi a t-il besoin ?
Demandez-vous si vous pouvez lui suggérer d’autres moyens de se sentir libre qu’en ne nettoyant pas sa chambre.
Gardez ces pistes en tête lorsque le moment sera venu d’harmoniser vos besoins respectifs. Vous saurez alors que vous avez réussi à lâcher prise.
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9°) La technique TIPI à la rescousse pour apprendre à lâcher prise
Il arrive que certaines peurs soient tellement ancrées qu’il ne soit pas possible de les déloger ni de lâcher prise avec un travail sur soi ordinaire.
Je sais de quoi je parle, certains de mes schémas et de leur gestion ont résisté à toutes les thérapies.
Dans ces cas là, les traumas ont commencé dès des les premiers mois de vie (avant la mémoire) voire dès la vie intra-utérine, je vous renvoie sur d’anciens articles TIPI (Technique des peurs inconscientes).
La conscience seule ne peut pas les démanteler car, au fil des années, la pelote « trauma-gestion-bénéfice secondaire-croyances-cerveau reptilien-hypothalamus » vous interdit littéralement l’accès à ces données.
Je connais peu de techniques, à part les thérapies quantiques et selon moi la technique TIPI en fait partie, qui permettent d’atteindre ce nœud central.
La technique TIPI permet de dénouer, jusque la vie intra-utérine, les nœuds que le cerveau s’est fait avec les difficultés à gérer du fœtus ou du bébé.
La technique TIPI permet, sans mental ni compréhension et à partir des émotions de retourner dans le corps en laissant ce dernier se libérer.
Je ne veux pas vous raconter de salades, avec toute la bonne volonté du monde et les prises de conscience à ma disposition, il y a vraiment des blessures auxquelles je n’avais pas accès rien que par la compréhension, l’énergétique ou les techniques de « tapping ».
Comme j’ai tout essayé (ou presque), je garde aujourd’hui, dans ma boite à outils, les techniques (non- duelles) qui fonctionnent et ne font pas qu’agiter le cocotier émotionnel.
Qu’est ce que j’entends par non-duelles? Celles qui ne font pas de clivage entre maladie/guérison, trauma/libération, peur/sérénité, poids du passé/légèreté, stagnation/atteinte d’objectifs.
L’Être y est pris dans son entièreté et ces couples apparemment antinomiques se côtoient agréablement.
Je vous souhaite un joyeux lâcher prise et n’hésitez pas à faire appel à moi si vous rencontrez des obstacles.
Voici comme demandé par vos sympathiques réponses à l’enquête, une liste de mes prochains évènements.(Vous les trouverez aussi sur l’onglet « stages) .
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Et vous, quelle est votre recette pour lâcher prise ? (à part la vodka ou le chichon). Sur quoi avez-vous récemment lâché prise ? Laissez un commentaire !
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