Décodage biologique et cancer de l’utérus
Le cancer est une maladie qui ne laisse pas indifférent. Ou vous l’avez expérimenté ou vous connaissez des proches qui l’ont vécu.
La médecine n’est pas ma partie, je ne peux donc vous en parler que du point de vue psychique et émotionnel.
Peut être que cet aspect émotionnel est le chaînon manquant qui peut expliquer en partie pourquoi certains s’en sortent et d’autres non alors qu’ils subissent le même traitement.
Généralement, vous êtes prêt à vous intéresser au décodage biologique pour les petits bobos comme l’herpès ou la signification des dents.
Pour les grosses pathologies qui font peur, vous êtes un peu plus méfiants et c’est normal. Le cancer de l’utérus est une maladie grave qui touche à l’intimité de la femme.
Derrière le mot cancer, se profile toujours la peur de ne pas y survivre.
Dans l’inconscient collectif il est interprété comme un méchant dysfonctionnement qui survient par le plus grand des hasards et auquel tout le monde peut être confronté un jour ou l’autre sans prévenir.
J’espère avoir calmé cette peur avec mon article sur le Docteur Hamer (cliquez) et les fondements de sa nouvelle médecine.
Savoir qu’il y a une origine émotionnelle aux maladies ne résout rien dans un premier temps mais donne un petit pouvoir qui permet d’accepter la maladie, plutôt que de la voir comme une erreur.
Elle n’est pas là par hasard, elle a un message à délivrer à propos de quelque chose d’invisible dans votre vie qui génère un stress et que vous n’arrivez pas à gérer.
Faire cette recherche ne vous empêche en rien de suivre les filières traditionnelles qui, à leur tour aussi peuvent vous rassurer.
Pourquoi ne pas mettre toutes les chances de guérison de votre côté ?
Papillomavirus, cancer de l’utérus et décodage biologique
D’origine infectieuse, le cancer de l’utérus se développe lentement à partir de lésions précancéreuses invisibles, vu leur localisation. Il est causé par différents virus de la famille des papillomavirus.
Pourtant, quand on sait que, lors d’une poignée de main, plus de 30 millions de microbes passent d’une personne à l’autre, on se demande pourquoi certaines personnes tombent malades et d’autres non.
Ces infections dues au papillomavirus sont très fréquentes, de l’ordre de une femme sur deux exposée au cours de sa vie.
En général, elles régressent spontanément sans l’apparition d’un cancer de l’utérus et sans que personne ne s’en soit aperçu.
Il est vrai que rien ne permet de déceler l’apparition de ce type de cancer sans un dépistage régulier par frottis.
Je vous propose de lire ce que le décodage biologique a à dire à propos du cancer en général:
» tout cancer est un programme biologique (commandé par le cerveau) qui commence par un choc conflictuel émotionnel.
Le choc brutal, doit être ressenti comme émotionnellement dramatique et souvent vécu dans l’isolement. A ce moment là, l’organe qui symbolise le mieux la teneur émotionnelle du choc incarne la maladie . »
En d’autres termes, ce serait le corps lui-même, à travers le système immunitaire, qui donnerait la permission aux germes et au virus d’être actif ou pas, et cela à tel endroit du corps et non à tel autre.
Ainsi un cancer est comme une sonnette d’alarme, une sorte de sirène anti-feu. Faire taire le détecteur de fumée (éliminer le cancer par tous les moyens) parce qu’il nous casse les oreilles est un acte simpliste.
Ne serait il pas intéressant aussi de savoir ce qui a déclenché le détecteur de fumée avant de s’en débarrasser ?
Prévention,vaccin et décodage biologique
Dans le cancer de l’utérus, plusieurs causes (donc plusieurs conflits) sont possibles :
- conflit de frustration sexuelle (je ne suis pas choisie par le mâle)
- décision volontaire de se frustrer sexuellement suite à un événement perçu comme dramatique.
- se sentir trompé
Tout ce qui est écrit en général s’arrête à ces causes mais, en menant mon enquête, j’ai découvert d’autres causes au cancer de l’utérus comme par exemple:
- conflit relatif à la maternité
Les expressions « sans prévenir» et « dramatique » sont des ingrédients essentiels à l’apparition d’un cancer.
Ceci est important pour que vous (si vous êtes une femme ou si vous avez une adolescente à la maison) ne sentiez pas une menace peser à chaque instant par ce méchant virus qui, soi-disant frappe au hasard.
Il y a de quoi avoir peur d’un cancer viral, lorsqu’on croit sur parole les médias mais cette peur est entretenue par un manque d’informations.
Toute cette campagne à propos du vaccin pour prévenir le papillomavirus ne peut pas être complète s’il n’est pas donné en même temps la précieuse indication qu’un cancer se développe suite à un conflit biologique.
En d’autres termes, suite à un choc (émotionnel ou psychique) qui se traduit dans la biologie.
Pourquoi les jeunes filles sont elles susceptibles d’être touchées si jeunes par ce type de cancer dont j’ai répertorié les causes émotionnelles possibles?
1°) Parce que c’est l’âge où elles se posent des questions à propos de la sexualité.
2°) Parce qu’elles peuvent se frustrer sexuellement par peur de tomber enceinte.
3°) Parce qu’elles sont susceptibles de vivre de façon dramatique des évènements ordinaires comme:
- une première relation sexuelle ou
- la frustration de ne pas en avoir
- la souffrance de ne pas avoir été choisi par l’élu du moment.
Si vous rajoutez à cela la difficulté de ne pas savoir à qui se confier, la peur des jugements d’un adulte ou de l’humiliation d’un parent, vous voyez qu’une adolescente n’est pas à l’abri de vivre un conflit pouvant mener à un cancer de l’utérus.
S’intéresser à la vie sexuelle de sa fille me paraît tout aussi important que de la mener manu militari se faire vacciner contre le papillomavirus.
Le cancer de l’utérus peut mettre une dizaine d’année à se déclencher dans sa phase active, il y a donc largement le temps de faire de réguliers dépistages.
Ma propre expérience du cancer de l’utérus
Je me suis intéressée de près à cette maladie pour l’avoir vécue moi-même il y a de nombreuses années.
A l’époque, j’avais supposé que la cause de mon cancer (in situ) était la frustration, même si je ne comprenais pas vraiment en quoi tout cela avait été dramatique au point de développer un cancer de l’utérus.
C’est en lisant un reportage sur les aventures du Docteur Hamer dont j’ai parlé dans mon dernier article sur le décodage biologique que la lumière a jailli.
J’ai alors revisité toute l’histoire de ma vie à l’époque de ce cancer et j’ai fini par comprendre ce qui avait vraiment généré le conflit biologique à l’intérieur de moi.
Je suis bien évidemment allée jusqu’à l’opération car, à l’époque, je n’avais pas été capable de décoder ce avec quoi j’étais aux prises.
Je vous en parle en fin d’article et je vous décrypte aussi le cancer de l’utérus de Katia à qui j’avais transmis ces informations afin qu’elle comprenne mieux ce qui lui était arrivé.
Je vous retranscris le texte qui m’a complètement fait changé d’avis et m’a obligé à revisiter mes interprétations en matière de cancer de l’utérus.
Histoire d’une des péripéties du Docteur Hamer et cancer de l’utérus
Le Professeur Semm voulait tester la Nouvelle Médecine Germanique du Docteur Hamer en lui présentant le cas d’une patiente de 83 ans.
Il poursuivait en cela deux buts inavoués :
- le premier était d’éclairer une maison d’édition qui hésitait à publier les travaux révolutionnaires du docteur Hamer sur la loi d’Airain du cancer.
- par le deuxième, il cherchait à démonter l’absurdité de la théorie du Dr Hamer concernant le cancer afin de l’évincer de la clinique où il exerçait.
Le Prof. Semm avait reçu une patiente de 83 ans en consultation qui souffrait d’un cancer du col de l’utérus stade 3.
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Apparemment elle n’avait jamais été mariée, n’avait pas eu de relation sexuelle et vivait seule depuis de nombreuses années.
Lors de cette première consultation, le Dr Semm lui avait demandé si elle avait été en contact avec un ami ou une autre personne de sa connaissance.
La vieille dame avait répondu qu’elle vivait toute seule, sans querelles ni conflits avec qui que soit. Toutes ses connaissances et amis étaient décédés depuis au moins une décennie.
Le docteur Semm savait qu’il allait laisser le docteur Hamer se couvrir de ridicule par un échec à sa théorie puisque la dame n’avait pas de conflit sexuel malgré son cancer de l’utérus.
Vous allez voir que le Docteur Hamer oriente très vite la consultation car il est persuadé que la dame a vécu un conflit en rapport avec la sexualité pour avoir développé un cancer.
Récit de la consultation du docteur Hamer
En 1922, quand la patiente était une jeune étudiante en économie à Aachen, elle a rencontré un jeune enseignant, devenu le professeur M.
Elle a d’abord eu sa maîtrise puis son doctorat et elle a travaillé avec lui à l’université d’Aachen jusqu’en 1939.
Hamer: Quand est décédé le professeur M. à Aachen?
Patiente: En 1971 à 78 ans, ce fut très dur pour moi.
Hamer: Vous avez connu votre collègue quand vous étiez jeune étudiante, mais n’était-il pas, madame, plus qu’un simple collègue pour vous?
Patiente (très excitée): Docteur, vous me posez des questions comme si vous lisiez mon âme à livre ouvert, alors que je n’ai jamais dit un seul mot à quelqu’un à ce sujet.
Oui, c’est vrai, il était mon époux! C’était un secret merveilleux entre nous. Et nous avons été fidèles pendant presque cinquante ans, par lettres, jusqu’à sa mort.
Nous étions des époux secrets, il n’était pas question de se marier, ni d’avoir des enfants tant nous étions pauvres.
Nous nous sommes aimés infiniment et sa mort m’a transformé d’une épouse heureuse en une veuve esseulée.
Hamer: Combien de temps s’est-il passé avant que vous n’ayez pu faire le deuil de votre homme?
Patiente: Après un peu plus d’une année j’avais enduré le plus dur. Depuis je me suis retirée.
Hamer: Madame, tout ce que vous m’avez raconté est certainement vrai, mais vous avez omis la chose la plus importante.
Votre époux est mort en 1971. pourtant il a du se passer quelque chose de grave le concernant il y a un an et demi à deux ans,.
Je parle d’un événement conflictuel, comme vous ne l’avez jamais vécu et qui n’a pas été résolu à ce jour.
Patiente: (les yeux grands ouverts de peur, livide ): Docteur, au nom de Dieu, comment pouvez-vous savoir cela ? Jamais je n’en ai parlé à personne, jamais personne ne m’a vu pleurer.
Mais vous avez raison, même maintenant je ne pense à rien d’autre, le jour et la nuit, quand je ne peux pas dormir, ce qui est souvent le cas.
Hamer: Madame, ce serait bien de parler ensemble de tout ça. Et elle a tout raconté. Elle pouvait dater l’évènement conflictuel très exactement au jour, et même à l’heure près.
Son époux avait une grande collection de tableaux, parmi lesquels aussi beaucoup de peintures faites par lui-même, qu’il avait tous légués au musée de Husum.
Puisqu’il n’était pas marié et n’avait pas d’enfants, la patiente avait été désignée par lui comme son exécutant testamentaire.
Les tableaux avaient déjà été envoyés à Husum tout de suite après sa mort.
Mais pour lui rendre hommage, toute sa correspondance essentielle, publications, manuscrits etc. était aussi destinée au musée.
Fin décembre 1979 la patiente a reçu chez elle un gros paquet ficelé contenant des lettres, parmi lesquelles ses propres lettres d’amour à son amoureux et qu’il avait gardées en parfait état.
Patiente: Docteur, je me rappelle encore très exactement comment j’ai ouvert le premier paquet, c’étaient mes toutes premières lettres d’amour.
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J’étais comme paralysée! C’était merveilleux et horrible, elles me rendaient heureuse et inconsolable, c’était terrible
A partir du 3 janvier 1980, tout m’est revenu. Chaque lettre me rappelait toutes ces tendresses qu’il y a eu entre nous dans la période la plus belle la plus insouciante de ma vie.
J’ai tout revécu à nouveau, comme si mon homme vivait encore. Et alors, chaque fois que je réalisais que mon amoureux était mort, alors je ne pouvais que pleurer, pleurer, pleurer, seulement pleurer….
Et cela n’a pratiquement pas changé jusqu’à ce jour.
Une fois de plus les thèses du Docteur Hamer étaient vérifiées.
Cancer de l’utérus et mon propre cas
A près avoir lu ce texte, je me suis interrogée sur une période de ma vie que j’ai un peu passé sous silence, celle où j’avais attrapé un papillomavirus et où je me suis fait opérer quelques mois plus tard.
J’étais persuadée que je n’avais pas eu de chance de développer un cancer de l’utérus alors que la plupart des organismes peuvent en général éliminer tout seul ce virus.
Vous avez sans doute retenu que pour trouver l’évènement dramatique qui déclenche un cancer on peut remonter de 6 mois à un an et demi avant l’apparition des symptômes.
C’est la raison pour laquelle, le cancer de cette dame ne pouvait pas remonter à la perte de son époux mais bien à un événement ultérieur.
Je suis moi aussi remontée à un an et demi avant l’opération pour trouver l’évènement déclencheur. Et j’ai trouvé rien de moins que la mort de mon petit ami du moment.
Comment avais-je pu occulter cela?
Cancer de l’utérus et histoire de Katia
En racontant cela à Katia qui avait eu elle aussi un cancer de l’utérus un an plus tôt, j’ai vu qu’elle était interpellée et n’avait pas trouvé elle non plus la racine émotionnelle de son cancer.
Je lui laisse la parole.
« Quand j’ai su que le frottis avait révélé des cellules cancéreuses, j’ai d’abord nié les faits et soupçonné ma gynéco de vouloir s’enrichir en m’opérant.
Puis, je l’ai rendue responsable: j’étais en colère après la gynécologue qui avait négligé à mes yeux de m’informer des risques à ne pas subir des examens réguliers.
Puis, je me suis défendue: cela m’arrive parce que je ne prends pas soin de mon corps, c’est parce que je ne m’aime pas (je n’allais pas régulièrement faire des examens de prévention) donc il est juste qu’il m’arrive cela.
J’en prenais la responsabilité. Un peu comme si la maladie venait me donner une leçon. Puis, j’ai pensé que cette leçon était une sorte de punition en rapport avec les avortements que j’avais eus plus jeune.
J’ai changé de gynéco. Le suivant m’a exposé les risques que je prenais à ne pas me faire opérer le plus rapidement possible.
J’ai alors décidé de me faire opérer, persuadée que cela me sauverait. En fait, cette décision a eu plusieurs effets bénéfiques en dehors de ma guérison.
Me sentant seule et faible (avant l’opération) face au spectre du cancer qui menaçait de m’anéantir, j’ai pu demander de l’aide à une connaissance qui a bien voulu m’accompagner, me tenir par la main.
Elle est devenue mon amie. Cela m’a permis d’ouvrir mon cœur. Aussi par rapport à ma fille, avant de me faire opérer, je lui ai fait une lettre d’adieux que mon amie devait lui remettre au cas où je mourrais.
En l’écrivant, j’ai réalisé que j’avais un vrai lien avec ma fille et que j’étais en paix avec la perspective de ma mort prochaine. Là aussi, je débouchais sur une expérience du cœur.
Ma maladie commençait a avoir un sens puisqu’elle ouvrait la dimension du cœur dans ma vie. Mais il restait toujours une ombre et surtout la peur à chaque frottis d’apprendre que cela avait recommencé.
C’est des années plus tard, lorsque ma sœur m’a demandé, en rapport aux travaux du Dr. Hamer, si j’avais trouvé ce qui avait déclenché mon cancer que j’ai trouvé immédiatement l’événement qui avait causé le choc émotionnel.
Quelques mois plus tôt, ma fille avait eu un accident de cheval alors que je n’étais pas à ses côtés. En la rejoignant tout à coup, j’ai vu le visage de ma fille figé dans une hémiplégie faciale.
Ce fut un choc immédiat. J’ai essayé de ne rien laisser paraître de ma panique intérieure pour ne pas alarmer Marie. Mais elle l’a sentie et a hurlé car elle ne voulait pas aller à l’hôpital.
L’hémiplégie faciale de ma fille a lentement disparu dans les six mois après sa déclaration à l’aide des soins quotidiens (massages faciaux) que je lui prodiguais.
C’est grâce à cette prise de conscience que j’ai développé la certitude actuelle de ne plus être en danger par rapport à cette maladie.
Maintenant, je traite immédiatement toutes les peurs qui peuvent se manifester dans ma vie. » (Cela n’est pas dit dans le texte mais il s’agit de la technique Tipi!).
Je vous propose de regarder un extrait du magnifique film « my sister’s keeper » si vous ne l’avez pas déjà vu. C’est un éclairage supplémentaire sur le fait qu’une des conséquences du cancer puisse bien être d’ouvrir son cœur.
Quant à l’histoire de Katia, si vous avez lu mon article sur le docteur Hamer, vous avez sans doute retenu que la femme du docteur Hamer avait eu un cancer des ovaires pendant que lui développait un cancer des testicules à l’annonce de la mort de leur fils Dirk.
Il paraît normal que les deux organes reproducteurs soient touchés puisqu’il s’agit de leur descendance.
En multipliant les cellules cancéreuses le cerveau encourage ainsi une surproduction d’ovules et de spermatozoïdes afin de refaire rapidement un enfant et relativiser le stress de la perte.
Alors pourquoi Katia a t-elle développé un cancer de l’utérus plutôt qu’un cancer des ovaires ?
Devant un tel souci du détail, il apparaît très clairement que le cancer ne cible pas au hasard les organes touchés.
Ils correspondent vraiment au type de conflit que la personne vit et ceci est totalement subjectif et personnel. L’utérus est l’organe dans lequel évolue le fœtus pendant toute sa vie intra-utérine. Le col en protège l’entrée.
En affectant le col de l’utérus, le cerveau de Katia indique qu’elle s’en veut de ne pas avoir su protéger sa fille et de ne pas avoir été là pour prévenir l’accident. Il n’est pas question d’une surproduction d’ovules afin de refaire un enfant.
Devant tant de précision, je ne peux que m’extasier devant la perfection et la cohérence de notre machinerie interne. Quand bien même cette perfection serait une maladie.
Si vous avez une explication différente de la mienne , je vous encourage vivement à en faire part dans les commentaires.
Alors, encouragé(e) à modifier votre point de vue sur le cancer. Une expérience à partager? Laissez un commentaire!
Nov 28
Comment être heureux et se réveiller zen quand on a du mal à dormir ?
Bien-être, Développement personnel, Santé
by Hannah
Mal dormir et être heureux, difficilement conciliables
Si le matin vous êtes fatigué, bougon et que vous commencez déjà à anticiper que votre journée sera difficile, c’est peut-être votre sommeil qui en est la cause.
Être heureux et zen n’est donc pas à l’ordre du jour, vous cherchez désespérément à ouvrir les yeux, partir à l’heure et surtout, ne rien oublier.
Dans ce contexte de survie où votre corps n’a pas le loisir de se régénérer, votre santé physique et votre bien-être psychique risquent d’en prendre un coup.
Manquer de sommeil ou ne pas trouver de sommeil réparateur a une influence sur votre capacité à être heureux et à évoluer « zen » tout au long de votre journée. Vous allez découvrir 3 astuces pour mieux récupérer.
Le sommeil repose sur un équilibre plus délicat que vous ne le pensez. Il peut être perturbé par :
Et si vous avez le sommeil fragile comme moi, par dix mille autres perturbations insoupçonnables au premier regard comme, les agents de dépendance dans les chewing-gums sans sucre, le poivre, le gingembre, la cannelle, trop de chaleur etc.
La liste est incroyablement longue pour ceux qui ont une difficulté avec le sommeil. Vous l’aurez compris, je connais ce thème sur le bout des doigts!
Je vous propose donc de développer « 3 habitudes indispensables pour être zen au quotidien” et de les mettre en œuvre avant de vous coucher.
1°) Traquer la procrastination
La procrastination signifie « reporter l’action » ou remettre au lendemain. Je suis certaine que cela ne vous concerne pas mais parlons-en au cas où…
Elle a de nombreuses causes que j’ai passées en revue dans un précédent article qui vont bien au-delà des regrettables habitudes et de la mauvaise foi.
Bien qu’elle passe pour un vilain défaut, la procrastination a des racines beaucoup plus profondes que vous ne pouvez l’imaginer et n’est pas qu’une question de gestion de temps.
Procrastiner entretient un stress permanent (celui du dimanche soir que vous viviez enfant avant de faire signer un carnet, une punition ou de vous atteler à un devoir incompréhensible).
Tant que vous êtes dans la dynamique de remettre au lendemain une tâche urgente, vous pouvez cultiver une image négative de vous-mêmes.
Je ne crois pas beaucoup au sabotage, cela signifie donc que cultiver une mauvaise image présente un intérêt et un bénéfice secondaire.
Vous voyez où je veux en venir ?
Pendant que vous vous en voulez de ne pas y arriver, vous pensez qu’il vous suffit de changer cette mauvaise habitude et que vous avez le pouvoir de vous améliorer.
Or, les causes réelles de la procrastination vous ramènent souvent à des époques plus anciennes où vous étiez réellement un enfant dépendant et sans pouvoir d’action sur votre vie.
Peut-on s’améliorer à trois jours de vie ? Peut-on pleurer moins ou avoir moins faim pour ne pas déranger sa mère ou son père?
La procrastination est une des difficultés que l’on peut travailler avec la technique Tipi (technique d’Identification des Peurs inconscientes).
L’enjeu est de taille puisqu’il peut vous faire perdre votre travail, votre relation , votre diplôme etc.
Les peurs inconscientes à l’œuvre peuvent même remonter à votre vie intra-utérine et vous immobiliser bien au-delà de votre volonté.
Il est donc important d’y consacrer toute votre attention, voire de vous faire aider si vous sentez qu’un peu de discipline dans l’emploi du temps ne suffira pas à en venir à bout.
Pour résumer, la procrastination génère beaucoup de stress, sous forme de pression, de culpabilité (demain j’arrête de procrastiner), de colère contre soi et de peur.
Vous commencez à comprendre que se coucher en pensant tout remettre au lendemain ne prépare pas à une bonne nuit de sommeil.
Voici mon premier conseil :
Même si vous n’êtes pas encore en mesure de vous atteler à votre tâche, forcez-vous à poser un acte si minuscule soit-il qui va dans le sens de la résolution.
Ainsi votre mental ne viendra pas vous tourmenter la nuit avec ses reproches. N’allez pas vous coucher sans faire cette micro action.
Ouvrez le dossier qui vous pose tant de soucis et initiez la première étape. Découpez la tâche en marches franchissables.
Je peux vous assurer que vous allez mieux dormir et vous sentir en paix. A vous la journée zen le lendemain, quelle que soit la météo !
2°) Faites-vous un auto-massage Dien’Chan’
Le Dien’Chan est une technique de réflexologie vietnamienne extrêmement simple, sans danger et efficace.
Comme dans toute réflexologie, le corps tout entier est représenté symboliquement sur le visage mais on peut le retrouver aussi sur la plante des pieds ou les paumes de la main.
Cette réflexologie faciale est utilisée pour traiter toutes sortes de malaises et maladies déclarés ou à titre préventif.
Il vous suffit pour cela de stimuler des points précis sur votre visage à l’aide d’un stylet, du bout rond d’un stylo ou tout simplement votre index et votre majeur ensemble.
Nous avons vu dans des articles précédents d’autres façons d’utiliser le Dien’ Chan’. N’hésitez pas à avoir recours à cette technique, elle peut littéralement vous aider à avoir moins recours aux médicaments.
Dans le cas des problèmes de sommeil qui vous empêchent d’être zen ou au top de votre forme, voici 6 points à stimuler. Je vous conseille de les tester un par un jusqu’à ce que vous sentiez leur effet sur vous.
Une fois que vous aurez pratiqué les points, faites une séquence entière en les stimulant dans l’ordre où je vous les ai présentés.
Le N°1 se situe à mi chemin entre la naissance des cheveux et les sourcils. Vous le trouverez sur la photo ci-dessous.
Ce point calme le système nerveux. Je ne vous ai montré qu’un seul point mais vous pouvez trouver l’autre par symétrie.
Balayez horizontalement les deux points avec l’index et le majeur de chaque main sur quelques centimètres. Dès que vous sentez que vous avez envie de bailler, c’est que vous l’avez trouvé.
Le point N°2 favorise le sommeil. Vous le trouverez à la naissance du sourcil en suivant le bord de l’orbite oculaire. Appuyez fortement avec vos doigts en lissant le début de vos deux sourcils.
Cherchez ces points symétriques jusqu’à ce que vous sentiez une détente.
Le point N°3 est recommandé en cas d’insomnie. Avec l’index et le majeur de votre main droite si vous êtes droitier, balayez la zone du creux du menton assez fortement. Recommencez jusqu’à ce que vous sentiez un effet.
Le point N°4 se situe au point de jonction entre le haut de l’oreille et le visage. Stimulez les deux points (oreille gauche et oreille droite) par petits cercles bien appuyés. Attendez de bien les sentir avant de passer aux suivants.
Le point N°5 Il est à la jonction entre le visage et le lobe de l’oreille (droite et gauche). C’est un point de détente. Il est situé devant le lobe et sous l’oreille. Massez-les horizontalement.
Point N°6 : si vous avez testé tous les autres points, vous devriez déjà commencer à sentir une détente. Celui-ci détend le système nerveux.
Suivez le trait rose sur le dessin et massez le devant rebondi de l’oreille de haut en bas (très important, de bas en haut aurait l’effet inverse). Ce point est irrésistible pour aller se coucher.
3°) Posez-vous la bonne question avant de vous endormir
Au niveau concret, il est important de dégager votre chambre du superflu en éliminant les sacs, le linge sale, les cartons derrière la porte et tout ce qui peut encombrer votre espace vital.
Il va aussi falloir dégager votre espace psychique de tout ce que vous avez vécu dans la journée. Vous avez peut-être été confronté à des situations désagréables ou à des échanges difficiles.
N’imaginez pas que vous allez vous endormir en l’oubliant. Votre mental va vous rejouer la scène avec ce que vous auriez du faire ou dire, jusqu’à ce qu’il s’épuise.
Avec un métro de retard, il va vous faire tous les personnages et réécrire le scénario telle qu’elle aurait du se dérouler selon lui.
Pour le moment, vous ne savez pas encore à quoi va vous servir cette expérience désagréable ni ce qu’elle vient faire dans votre vie.
Soyez assuré qu’elle a sa place dans votre histoire pour vous faire avancer même si vous n’en voyez pas encore le bénéfice.
Cette expérience est peut-être une réponse déguisée à quelque chose que vous avez demandé et qui nécessite un nettoyage ou une clarification.
C’est peut-être aussi le démarrage d’un travail intérieur nécessaire et qui a pris cette forme qui, au premier abord, ne vous plait pas.
Prenez la décision de voir cette situation sous l’angle de la transformation qu’elle va opérer en vous.
Lorsque vous avez calmé votre mental en lui expliquant que ce soir est trop tôt pour tirer profit de l’expérience, vous allez pouvoir vous recentrer et retrouver votre « zénitude » sans être balloté par les circonstances extérieures sur lesquelles vous ne pouvez pas agir, pour le moment.
Puisque tout ce sur quoi vous portez votre attention a tendance à se manifester dans votre vie, porter votre attention sur votre future transformation, plutôt que sur la tuile et ses désagréments.
Après avoir fait cette rétrospective, concentrez-vous maintenant sur un détail de votre journée qui vous a plu.
C’est le moment de vous poser la bonne question :
Que m’est il arrivé d’important, d’encourageant et d’agréable aujourd’hui ?
C’est peut être un échange nourrissant, une ouverture, un bonne nouvelle, une prise de conscience, un rayon de soleil, une perspective agréable etc.
Faites monter en vous un sentiment de gratitude pour ce que vous avez vécu.
Vous avez tendance à attirer à vous des personnes et des situations qui sont de même nature et qui vibrent à votre diapason.
Si vous entretenez de la gratitude, l’univers va se plier en 4 pour vous apporter des évènements qui vont générer en vous ce même sentiment de gratitude.
Si vous broyez du noir avant de vous coucher, vous vous préparez à attirer à vous des évènements qui vont entretenir votre rumination.
Alors, vous avez le choix, avant de vous coucher de vous poser la bonne question et d’entretenir une habitude zen.
Ce billet participe à l’évènement interblogueurs “3 astuces pour être zen au quotidien” organisé par le blog Habitudes Zen d’Olivier Roland.
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