Décodage biologique et cancer de l’utérus
Le cancer est une maladie qui ne laisse pas indifférent. Ou vous l’avez expérimenté ou vous connaissez des proches qui l’ont vécu.
La médecine n’est pas ma partie, je ne peux donc vous en parler que du point de vue psychique et émotionnel.
Peut être que cet aspect émotionnel est le chaînon manquant qui peut expliquer en partie pourquoi certains s’en sortent et d’autres non alors qu’ils subissent le même traitement.
Généralement, vous êtes prêt à vous intéresser au décodage biologique pour les petits bobos comme l’herpès ou la signification des dents.
Pour les grosses pathologies qui font peur, vous êtes un peu plus méfiants et c’est normal. Le cancer de l’utérus est une maladie grave qui touche à l’intimité de la femme.
Derrière le mot cancer, se profile toujours la peur de ne pas y survivre.
Dans l’inconscient collectif il est interprété comme un méchant dysfonctionnement qui survient par le plus grand des hasards et auquel tout le monde peut être confronté un jour ou l’autre sans prévenir.
J’espère avoir calmé cette peur avec mon article sur le Docteur Hamer (cliquez) et les fondements de sa nouvelle médecine.
Savoir qu’il y a une origine émotionnelle aux maladies ne résout rien dans un premier temps mais donne un petit pouvoir qui permet d’accepter la maladie, plutôt que de la voir comme une erreur.
Elle n’est pas là par hasard, elle a un message à délivrer à propos de quelque chose d’invisible dans votre vie qui génère un stress et que vous n’arrivez pas à gérer.
Faire cette recherche ne vous empêche en rien de suivre les filières traditionnelles qui, à leur tour aussi peuvent vous rassurer.
Pourquoi ne pas mettre toutes les chances de guérison de votre côté ?
Papillomavirus, cancer de l’utérus et décodage biologique
D’origine infectieuse, le cancer de l’utérus se développe lentement à partir de lésions précancéreuses invisibles, vu leur localisation. Il est causé par différents virus de la famille des papillomavirus.
Pourtant, quand on sait que, lors d’une poignée de main, plus de 30 millions de microbes passent d’une personne à l’autre, on se demande pourquoi certaines personnes tombent malades et d’autres non.
Ces infections dues au papillomavirus sont très fréquentes, de l’ordre de une femme sur deux exposée au cours de sa vie.
En général, elles régressent spontanément sans l’apparition d’un cancer de l’utérus et sans que personne ne s’en soit aperçu.
Il est vrai que rien ne permet de déceler l’apparition de ce type de cancer sans un dépistage régulier par frottis.
Je vous propose de lire ce que le décodage biologique a à dire à propos du cancer en général:
» tout cancer est un programme biologique (commandé par le cerveau) qui commence par un choc conflictuel émotionnel.
Le choc brutal, doit être ressenti comme émotionnellement dramatique et souvent vécu dans l’isolement. A ce moment là, l’organe qui symbolise le mieux la teneur émotionnelle du choc incarne la maladie . »
En d’autres termes, ce serait le corps lui-même, à travers le système immunitaire, qui donnerait la permission aux germes et au virus d’être actif ou pas, et cela à tel endroit du corps et non à tel autre.
Ainsi un cancer est comme une sonnette d’alarme, une sorte de sirène anti-feu. Faire taire le détecteur de fumée (éliminer le cancer par tous les moyens) parce qu’il nous casse les oreilles est un acte simpliste.
Ne serait il pas intéressant aussi de savoir ce qui a déclenché le détecteur de fumée avant de s’en débarrasser ?
Prévention,vaccin et décodage biologique
Dans le cancer de l’utérus, plusieurs causes (donc plusieurs conflits) sont possibles :
- conflit de frustration sexuelle (je ne suis pas choisie par le mâle)
- décision volontaire de se frustrer sexuellement suite à un événement perçu comme dramatique.
- se sentir trompé
Tout ce qui est écrit en général s’arrête à ces causes mais, en menant mon enquête, j’ai découvert d’autres causes au cancer de l’utérus comme par exemple:
- conflit relatif à la maternité
Les expressions « sans prévenir» et « dramatique » sont des ingrédients essentiels à l’apparition d’un cancer.
Ceci est important pour que vous (si vous êtes une femme ou si vous avez une adolescente à la maison) ne sentiez pas une menace peser à chaque instant par ce méchant virus qui, soi-disant frappe au hasard.
Il y a de quoi avoir peur d’un cancer viral, lorsqu’on croit sur parole les médias mais cette peur est entretenue par un manque d’informations.
Toute cette campagne à propos du vaccin pour prévenir le papillomavirus ne peut pas être complète s’il n’est pas donné en même temps la précieuse indication qu’un cancer se développe suite à un conflit biologique.
En d’autres termes, suite à un choc (émotionnel ou psychique) qui se traduit dans la biologie.
Pourquoi les jeunes filles sont elles susceptibles d’être touchées si jeunes par ce type de cancer dont j’ai répertorié les causes émotionnelles possibles?
1°) Parce que c’est l’âge où elles se posent des questions à propos de la sexualité.
2°) Parce qu’elles peuvent se frustrer sexuellement par peur de tomber enceinte.
3°) Parce qu’elles sont susceptibles de vivre de façon dramatique des évènements ordinaires comme:
- une première relation sexuelle ou
- la frustration de ne pas en avoir
- la souffrance de ne pas avoir été choisi par l’élu du moment.
Si vous rajoutez à cela la difficulté de ne pas savoir à qui se confier, la peur des jugements d’un adulte ou de l’humiliation d’un parent, vous voyez qu’une adolescente n’est pas à l’abri de vivre un conflit pouvant mener à un cancer de l’utérus.
S’intéresser à la vie sexuelle de sa fille me paraît tout aussi important que de la mener manu militari se faire vacciner contre le papillomavirus.
Le cancer de l’utérus peut mettre une dizaine d’année à se déclencher dans sa phase active, il y a donc largement le temps de faire de réguliers dépistages.
Ma propre expérience du cancer de l’utérus
Je me suis intéressée de près à cette maladie pour l’avoir vécue moi-même il y a de nombreuses années.
A l’époque, j’avais supposé que la cause de mon cancer (in situ) était la frustration, même si je ne comprenais pas vraiment en quoi tout cela avait été dramatique au point de développer un cancer de l’utérus.
C’est en lisant un reportage sur les aventures du Docteur Hamer dont j’ai parlé dans mon dernier article sur le décodage biologique que la lumière a jailli.
J’ai alors revisité toute l’histoire de ma vie à l’époque de ce cancer et j’ai fini par comprendre ce qui avait vraiment généré le conflit biologique à l’intérieur de moi.
Je suis bien évidemment allée jusqu’à l’opération car, à l’époque, je n’avais pas été capable de décoder ce avec quoi j’étais aux prises.
Je vous en parle en fin d’article et je vous décrypte aussi le cancer de l’utérus de Katia à qui j’avais transmis ces informations afin qu’elle comprenne mieux ce qui lui était arrivé.
Je vous retranscris le texte qui m’a complètement fait changé d’avis et m’a obligé à revisiter mes interprétations en matière de cancer de l’utérus.
Histoire d’une des péripéties du Docteur Hamer et cancer de l’utérus
Le Professeur Semm voulait tester la Nouvelle Médecine Germanique du Docteur Hamer en lui présentant le cas d’une patiente de 83 ans.
Il poursuivait en cela deux buts inavoués :
- le premier était d’éclairer une maison d’édition qui hésitait à publier les travaux révolutionnaires du docteur Hamer sur la loi d’Airain du cancer.
- par le deuxième, il cherchait à démonter l’absurdité de la théorie du Dr Hamer concernant le cancer afin de l’évincer de la clinique où il exerçait.
Le Prof. Semm avait reçu une patiente de 83 ans en consultation qui souffrait d’un cancer du col de l’utérus stade 3.
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Apparemment elle n’avait jamais été mariée, n’avait pas eu de relation sexuelle et vivait seule depuis de nombreuses années.
Lors de cette première consultation, le Dr Semm lui avait demandé si elle avait été en contact avec un ami ou une autre personne de sa connaissance.
La vieille dame avait répondu qu’elle vivait toute seule, sans querelles ni conflits avec qui que soit. Toutes ses connaissances et amis étaient décédés depuis au moins une décennie.
Le docteur Semm savait qu’il allait laisser le docteur Hamer se couvrir de ridicule par un échec à sa théorie puisque la dame n’avait pas de conflit sexuel malgré son cancer de l’utérus.
Vous allez voir que le Docteur Hamer oriente très vite la consultation car il est persuadé que la dame a vécu un conflit en rapport avec la sexualité pour avoir développé un cancer.
Récit de la consultation du docteur Hamer
En 1922, quand la patiente était une jeune étudiante en économie à Aachen, elle a rencontré un jeune enseignant, devenu le professeur M.
Elle a d’abord eu sa maîtrise puis son doctorat et elle a travaillé avec lui à l’université d’Aachen jusqu’en 1939.
Hamer: Quand est décédé le professeur M. à Aachen?
Patiente: En 1971 à 78 ans, ce fut très dur pour moi.
Hamer: Vous avez connu votre collègue quand vous étiez jeune étudiante, mais n’était-il pas, madame, plus qu’un simple collègue pour vous?
Patiente (très excitée): Docteur, vous me posez des questions comme si vous lisiez mon âme à livre ouvert, alors que je n’ai jamais dit un seul mot à quelqu’un à ce sujet.
Oui, c’est vrai, il était mon époux! C’était un secret merveilleux entre nous. Et nous avons été fidèles pendant presque cinquante ans, par lettres, jusqu’à sa mort.
Nous étions des époux secrets, il n’était pas question de se marier, ni d’avoir des enfants tant nous étions pauvres.
Nous nous sommes aimés infiniment et sa mort m’a transformé d’une épouse heureuse en une veuve esseulée.
Hamer: Combien de temps s’est-il passé avant que vous n’ayez pu faire le deuil de votre homme?
Patiente: Après un peu plus d’une année j’avais enduré le plus dur. Depuis je me suis retirée.
Hamer: Madame, tout ce que vous m’avez raconté est certainement vrai, mais vous avez omis la chose la plus importante.
Votre époux est mort en 1971. pourtant il a du se passer quelque chose de grave le concernant il y a un an et demi à deux ans,.
Je parle d’un événement conflictuel, comme vous ne l’avez jamais vécu et qui n’a pas été résolu à ce jour.
Patiente: (les yeux grands ouverts de peur, livide ): Docteur, au nom de Dieu, comment pouvez-vous savoir cela ? Jamais je n’en ai parlé à personne, jamais personne ne m’a vu pleurer.
Mais vous avez raison, même maintenant je ne pense à rien d’autre, le jour et la nuit, quand je ne peux pas dormir, ce qui est souvent le cas.
Hamer: Madame, ce serait bien de parler ensemble de tout ça. Et elle a tout raconté. Elle pouvait dater l’évènement conflictuel très exactement au jour, et même à l’heure près.
Son époux avait une grande collection de tableaux, parmi lesquels aussi beaucoup de peintures faites par lui-même, qu’il avait tous légués au musée de Husum.
Puisqu’il n’était pas marié et n’avait pas d’enfants, la patiente avait été désignée par lui comme son exécutant testamentaire.
Les tableaux avaient déjà été envoyés à Husum tout de suite après sa mort.
Mais pour lui rendre hommage, toute sa correspondance essentielle, publications, manuscrits etc. était aussi destinée au musée.
Fin décembre 1979 la patiente a reçu chez elle un gros paquet ficelé contenant des lettres, parmi lesquelles ses propres lettres d’amour à son amoureux et qu’il avait gardées en parfait état.
Patiente: Docteur, je me rappelle encore très exactement comment j’ai ouvert le premier paquet, c’étaient mes toutes premières lettres d’amour.
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J’étais comme paralysée! C’était merveilleux et horrible, elles me rendaient heureuse et inconsolable, c’était terrible
A partir du 3 janvier 1980, tout m’est revenu. Chaque lettre me rappelait toutes ces tendresses qu’il y a eu entre nous dans la période la plus belle la plus insouciante de ma vie.
J’ai tout revécu à nouveau, comme si mon homme vivait encore. Et alors, chaque fois que je réalisais que mon amoureux était mort, alors je ne pouvais que pleurer, pleurer, pleurer, seulement pleurer….
Et cela n’a pratiquement pas changé jusqu’à ce jour.
Une fois de plus les thèses du Docteur Hamer étaient vérifiées.
Cancer de l’utérus et mon propre cas
A près avoir lu ce texte, je me suis interrogée sur une période de ma vie que j’ai un peu passé sous silence, celle où j’avais attrapé un papillomavirus et où je me suis fait opérer quelques mois plus tard.
J’étais persuadée que je n’avais pas eu de chance de développer un cancer de l’utérus alors que la plupart des organismes peuvent en général éliminer tout seul ce virus.
Vous avez sans doute retenu que pour trouver l’évènement dramatique qui déclenche un cancer on peut remonter de 6 mois à un an et demi avant l’apparition des symptômes.
C’est la raison pour laquelle, le cancer de cette dame ne pouvait pas remonter à la perte de son époux mais bien à un événement ultérieur.
Je suis moi aussi remontée à un an et demi avant l’opération pour trouver l’évènement déclencheur. Et j’ai trouvé rien de moins que la mort de mon petit ami du moment.
Comment avais-je pu occulter cela?
Cancer de l’utérus et histoire de Katia
En racontant cela à Katia qui avait eu elle aussi un cancer de l’utérus un an plus tôt, j’ai vu qu’elle était interpellée et n’avait pas trouvé elle non plus la racine émotionnelle de son cancer.
Je lui laisse la parole.
« Quand j’ai su que le frottis avait révélé des cellules cancéreuses, j’ai d’abord nié les faits et soupçonné ma gynéco de vouloir s’enrichir en m’opérant.
Puis, je l’ai rendue responsable: j’étais en colère après la gynécologue qui avait négligé à mes yeux de m’informer des risques à ne pas subir des examens réguliers.
Puis, je me suis défendue: cela m’arrive parce que je ne prends pas soin de mon corps, c’est parce que je ne m’aime pas (je n’allais pas régulièrement faire des examens de prévention) donc il est juste qu’il m’arrive cela.
J’en prenais la responsabilité. Un peu comme si la maladie venait me donner une leçon. Puis, j’ai pensé que cette leçon était une sorte de punition en rapport avec les avortements que j’avais eus plus jeune.
J’ai changé de gynéco. Le suivant m’a exposé les risques que je prenais à ne pas me faire opérer le plus rapidement possible.
J’ai alors décidé de me faire opérer, persuadée que cela me sauverait. En fait, cette décision a eu plusieurs effets bénéfiques en dehors de ma guérison.
Me sentant seule et faible (avant l’opération) face au spectre du cancer qui menaçait de m’anéantir, j’ai pu demander de l’aide à une connaissance qui a bien voulu m’accompagner, me tenir par la main.
Elle est devenue mon amie. Cela m’a permis d’ouvrir mon cœur. Aussi par rapport à ma fille, avant de me faire opérer, je lui ai fait une lettre d’adieux que mon amie devait lui remettre au cas où je mourrais.
En l’écrivant, j’ai réalisé que j’avais un vrai lien avec ma fille et que j’étais en paix avec la perspective de ma mort prochaine. Là aussi, je débouchais sur une expérience du cœur.
Ma maladie commençait a avoir un sens puisqu’elle ouvrait la dimension du cœur dans ma vie. Mais il restait toujours une ombre et surtout la peur à chaque frottis d’apprendre que cela avait recommencé.
C’est des années plus tard, lorsque ma sœur m’a demandé, en rapport aux travaux du Dr. Hamer, si j’avais trouvé ce qui avait déclenché mon cancer que j’ai trouvé immédiatement l’événement qui avait causé le choc émotionnel.
Quelques mois plus tôt, ma fille avait eu un accident de cheval alors que je n’étais pas à ses côtés. En la rejoignant tout à coup, j’ai vu le visage de ma fille figé dans une hémiplégie faciale.
Ce fut un choc immédiat. J’ai essayé de ne rien laisser paraître de ma panique intérieure pour ne pas alarmer Marie. Mais elle l’a sentie et a hurlé car elle ne voulait pas aller à l’hôpital.
L’hémiplégie faciale de ma fille a lentement disparu dans les six mois après sa déclaration à l’aide des soins quotidiens (massages faciaux) que je lui prodiguais.
C’est grâce à cette prise de conscience que j’ai développé la certitude actuelle de ne plus être en danger par rapport à cette maladie.
Maintenant, je traite immédiatement toutes les peurs qui peuvent se manifester dans ma vie. » (Cela n’est pas dit dans le texte mais il s’agit de la technique Tipi!).
Je vous propose de regarder un extrait du magnifique film « my sister’s keeper » si vous ne l’avez pas déjà vu. C’est un éclairage supplémentaire sur le fait qu’une des conséquences du cancer puisse bien être d’ouvrir son cœur.
Quant à l’histoire de Katia, si vous avez lu mon article sur le docteur Hamer, vous avez sans doute retenu que la femme du docteur Hamer avait eu un cancer des ovaires pendant que lui développait un cancer des testicules à l’annonce de la mort de leur fils Dirk.
Il paraît normal que les deux organes reproducteurs soient touchés puisqu’il s’agit de leur descendance.
En multipliant les cellules cancéreuses le cerveau encourage ainsi une surproduction d’ovules et de spermatozoïdes afin de refaire rapidement un enfant et relativiser le stress de la perte.
Alors pourquoi Katia a t-elle développé un cancer de l’utérus plutôt qu’un cancer des ovaires ?
Devant un tel souci du détail, il apparaît très clairement que le cancer ne cible pas au hasard les organes touchés.
Ils correspondent vraiment au type de conflit que la personne vit et ceci est totalement subjectif et personnel. L’utérus est l’organe dans lequel évolue le fœtus pendant toute sa vie intra-utérine. Le col en protège l’entrée.
En affectant le col de l’utérus, le cerveau de Katia indique qu’elle s’en veut de ne pas avoir su protéger sa fille et de ne pas avoir été là pour prévenir l’accident. Il n’est pas question d’une surproduction d’ovules afin de refaire un enfant.
Devant tant de précision, je ne peux que m’extasier devant la perfection et la cohérence de notre machinerie interne. Quand bien même cette perfection serait une maladie.
Si vous avez une explication différente de la mienne , je vous encourage vivement à en faire part dans les commentaires.
Alors, encouragé(e) à modifier votre point de vue sur le cancer. Une expérience à partager? Laissez un commentaire!
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