La pyramide de Maslow et la vie de couple
Je connais déjà un peu vos réponses car j’ai eu le plaisir de les lire suite à mon enquête anonyme de la semaine dernière.
Une vie de couple qui réponde à vos besoins, mythe ou réalité ?
La vérité c’est que toutes les relations (y compris votre vie de couple) que vous avez aujourd’hui ou que vous avez eues répondent ou ont répondu à vos besoins mais encore faut-il savoir de quels besoins on parle.
Cet article est écrit pour la Croisée des Blogs organisée par Théo du Blog « acteur de sa vie« .
Avant de vous expliquer les relations au travers de la vision de la conscience (plus loin dans l’article), je vais vous débroussailler la pyramide de Maslow.
Si je me réfère à ce psychologue humaniste, les besoins dont il parle sont ceux indispensables à la vie de l’être humain qu’ils soient sur le plan physique, émotionnel, culturel et social.
Maslow les a hiérarchisés en insistant bien sur le fait qu’un besoin en haut de la pyramide ne peut être totalement satisfait que si les besoins inférieurs ont aussi été pris en compte.
Revenons donc à la vie de couple que vous aimeriez et qui répond à vos besoins.
Si c’est votre quête et si vous avez du mal à trouver une relation qui vous satisfasse, la pyramide de Maslow pourrait bien être une réponse .
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1er étage
C’est une échelle qui hiérarchise les besoins physiologiques humains nécessaires à la vie. Tout en bas de l’échelle, vous trouvez les besoins primaires.
Ce sont plutôt les besoins liés à la survie: air, eau, nourriture, sommeil, repos, élimination, sexualité, hygiène, un abri, des habits, chaleur (réglage de la température), activité repos, ressources et moyens personnels. Tout ce qui amène la santé.
Nous vivons dans un pays où ce premier étage de la pyramide est à peu près (il y a à redire) assuré pour tous les membres de la société.
2ème étage
Le deuxième étage est celui de la sécurité (protection contre tout ce qui peut être dangereux (objets, situations) mais aussi protection psychologique (tout ce qui fait peur) sans oublier la liberté, la loi, l’ordre, la stabilité et le droit à être soigné.
En fait, ce deuxième étage correspond au besoin de s’assurer que les besoins de base seront satisfaits. L’homme vit désormais en communauté.
Il a donc la capacité de se défendre et d’être défendu. Besoin de confort. Importance des rituels rassurants. Protection contre la douleur. Dépendance assurée, anticipation, maison, revenu mensuel. Besoin d’avoir un pouvoir sur l’extérieur et besoin d’appropriation (c’est à moi).
Avantage sociaux, absence de menace. Sécurité d’emploi. Environnement organisé. Bonnes conditions de travail. Cellule familiale et protection du groupe. Cet étage n’est plus vraiment assuré pour tous par nos sociétés.
3ème étage
Au troisième étage, vous trouverez amour et sentiment d’appartenance. Amitiés et liens. Ne pas être seul dans le monde (même si la famille est loin) et possibilité de communiquer sentiments et besoins.
Donner et recevoir de l’amour, confiance, affection, acceptation, se sentir fils et fille de, liens familiaux affectueux, se sentir appartenir à un groupe. Avoir des relations intimes avec un partenaire. Se sentir accepté. Expression, information. Travail d’équipe.
4ème étage
Le quatrième est le besoin d’une place dans la société et d’une participation. Un statut social, exister. Reconnaissance de son travail et de celui des autres. Respect des autres et respect de soi.
Compétences. Appréciation, influence, réputation. Être utile et avoir de la valeur. Conserver son autonomie et son identité. Être fier de ce qu’on fait. Se sentir capable d’y arriver.
Récompenses promotions. Innover dans sa tâche, varier. Participer à la définition de ses objectifs professionnels. Avoir de l’indépendance et développer son autonomie. Confiance respect.
5ème étage
Ce dernier étage est celui de la croissance personnelle et l’appréciation de la vie. Faire profiter l’humanité de son évolution. Réaliser son plein potentiel. Réaliser son œuvre personnelle et s’épanouir.
La structure de la pyramide tendrait à faire croire que, plus on monte, plus les échelons sont difficiles à gravir.
Ce n’est pas si vrai : vous pouvez vous réaliser socialement et devenir un expert dans votre domaine sans avoir une relation stable ou une vie de couple qui vous épanouisse.
Vous êtes ainsi installé au 4ème étage de la pyramide de Maslow sans être passé par la satisfaction des besoins du 3ème étage.
Selon Maslow, et j’abonde dans ce sens, dans le cas cité plus haut, vous ne serez pas totalement satisfait dans votre vie car un besoin essentiel n’est pas comblé.
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Vie relationnelle , vie de couple et quotidien
Voyons un peu ce que l’échelle des besoins de la pyramide de Maslow peut vous apporter dans votre vie de tous les jours.
J’ai choisi intentionnellement quelques exemple liés aux enfants pour répondre à des demandes formulées dans l’enquête.
Si vous procurez beaucoup d’affection à votre enfant (3ème niveau) mais que vous sous-estimez ses maux de ventre (1er étage que vous prenez pour un caprice pour ne pas aller à l’école), vous n’arriverez pas à le rendre heureux.
S’il fait pipi au lit ou dans sa culotte à l’école, c’est qu’il n’est pas mur pour le 3ème étage des liens et de l’apprentissage parce qu’une peur du 2ème étage n’a pas été calmée.
Dans le même ordre d’idée, Si votre enfant ne se socialise pas à l’école et n’a pas de copains, (3ème niveau), c’est sans doute qu’il lui manque une sécurité émotionnelle au niveau 2.
D’une autre façon, si votre enfant ado ne cherche pas à utiliser ses compétences pour participer au monde (et n’est pas enthousiaste à s’orienter vers un futur métier, 4ème niveau), c’est sans doute qu’au niveau inférieur (3ème, celui des liens), quelque chose n’est pas en place.
Si vous avez froid l’hiver dans votre maison (niveau 1 non satisfait), vous aurez du mal à vous plonger dans votre dossier ou votre mémoire à rendre (niveau 4).
Si vous souffrez d’anorexie ou de boulimie, votre étage N°1 des besoins primaires n’étant pas satisfait, vous aurez du mal à vous installer dans des relations confortables (niveau 3) ou à trouver une sécurité dans un groupe (familial ou autre) niveau 2.
Vous commencez à comprendre comment ça fonctionne ?
Si vous êtes un « addict » sexuel (1er et 2ème niveau) vous allez utiliser la relation pour un besoin du 2 ème étage et ne serez jamais satisfait de ce que la relation peut vous apporter (3ème étage) parce que vous n’en êtes pas encore là. C’est pareil avec toute autre addiction évidemment.
Vie de couple, relations et 3 types de comportements
A ce troisième étage de la relation, les recherches de Adam Grant peuvent vous être utiles. Il a déterminé 3 types de comportements dans la relation :
Le donneur :
Je ne suis pas entièrement d’accord avec sa définition du donneur. Selon lui, ce dernier a beaucoup reçu dans son enfance et ne s’est jamais senti frustré sur le plan affectif.
Si vous en connaissez dans votre entourage, donnez moi leur adresse, c’est une denrée rare.
Toujours est-il (quelles que soient les raisons) qu’une partie de la population se comporte en donneur dans la relation affective et surtout la vie de couple.
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Il sont, en général les plus tendres des 3 types et ont, sans doute pour cela, le plus de chance d’avoir des relations qui durent.
Leur priorité dans la relation et la vie de couple est de s’assurer du bonheur des autres. Ils connaissent les besoins de leur partenaire et cherchent à les satisfaire.
(Vous comprenez maintenant, après mon exposé sur la pyramide de Maslow qu’être donneur peut aussi être le fruit d’un gros bazar!)
Leur gentillesse est légendaire, ils laissent toujours la place à l’autre ainsi que le plus gros morceau de gâteau.
Ce qui n’est pas dit dans l’étude, c’est qu’ils ont aussi une tendance à se sous-estimer et à penser que les autres sont plus importants qu’eux.
Le donneur n’attend pas de retour immédiat sur ses actions (voire jamais) et s’attache de façon plutôt fusionnelle.
Il prend la responsabilité du bon fonctionnement de la relation sur son dos, et s’adapte sans effort à tout ce qui ne lui convient pas.
C’est lui qui dit que dans la vie de couple, « il y en a toujours un qui aime plus fort », normal, c’est lui.
Ce serait le partenaire idéal s’il ne dissimulait pas derrière tant d’égards une véritable dépendance affective.
Le donneur est souvent resté coincé dans la pyramide au 2ème étage. Il n’a pas eu son quota de sécurité affective.
Comment sait-on qu’une partie de son comportement est basé sur la dépendance ?
Parce qu’il attire à lui, en général un preneur ! Face à quelqu’un qui donne se trouve en général quelqu’un qui prend tout !
La vie est bien faite vous ne trouvez pas ? Le donneur va donc être obligé de revisiter les bonnes et les mauvais raisons pour lesquelles il donne.
Le preneur
Les preneurs sont très charmeurs, chaleureux et exubérants.Très charismatiques, Ils ont tendance à séduire pour atteindre leur objectif. Une fois mariés, ils arrêtent de faire des efforts, hommes comme femmes !`
Pour le reconnaître, c’est assez facile: à son contact, vous avez tendance à vous retrouver vidé ou dépossédé de votre énergie, de votre temps, de votre estime, voire de votre argent.
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Les preneurs sont absolument nécessaires dans la société pour faire travailler les donneurs !
Ils ont tout à apprendre des donneurs à commencer par sortir de la tour d’ivoire dans laquelle ils sont enfermés : contrairement à leurs apparences chaleureuses, ils ne sentent rien.
Ils bousculent les donneurs qui, eux, ont une tendance un peu trop forte à l’empathie relationnelle (cela ne signifie pas qu’ils sentent les choses pour eux!).
Les échangeurs
Ils sont en apparence plus équilibrés mais plus tièdes aussi. Ils payent chacun leur tour le restaurant et s’invitent les uns chez les autres à tour de rôle.
Ils partagent les factures et les gains. Leur démarche est toujours dans la justesse mais le contrôle qu’ils exercent pour une juste répartition et les efforts qu’ils font pour rendre la pareille indiquent un profond manque d’amour et d’élan de cœur.
Ils ne sont ni heureux ni malheureux. Ils ne font rien qui ne soit immédiatement échangeable ou « trocable ».
Même s’ils sont politiquement corrects, il leur manque une forme de générosité et ils ne prennent aucun risque relationnel.
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Si vous désirez passez avec brio ce troisième étage de la pyramide de Maslow, vous aurez intérêt à connaître votre type, à pister vos dépendances, vos fermetures émotionnelles et apprendre à faire « chou-fleur ».
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AH, vous ne connaissez pas ce jeu des cours d’école ?
Laissez moi vous l’expliquer: 2 joueurs sont l’un en face de l’autre. Chacun avance tour à tour à la distance exacte d’un pied (pas de fourmi).
Le premier fait un pas de de la taille exacte de son pied et dit « chou ». Le second avance alors d’un pas de la taille exacte de son pied et dit « fleur ».
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Ainsi chacun avance à sa mesure en attendant que l’autre fasse de même. Celui qui gagne c’est celui qui écrase le pied de l’autre.
Ainsi le donneur apprend à freiner ses envies compulsives d’aider (une seule action à la fois tant qu’il n’a pas eu de retour ) et le preneur fait un pas vers l’autre chaque fois qu’il a reçu.
L’échangeur apprend à suivre ses envies sans peur. Prendre quand il le désire, donner quand il le sent sans l’obligation du retour. Il apprend aussi à laisser l’autre être généreux sans offrir immédiatement quelque chose en échange.
Ceci n’est qu’une première étape pour apprendre à sortir des relations toxiques.
Vie de couple, besoin ou désir?
Peut-être avez-vous l’illusion de pouvoir rentrer en relation autrement que par le besoin ?
Vous êtes un expert de l’envie irrésistible et du coup de foudre. Vous pensez que c’est moins pragmatique que d’entrer en relation par besoin ?
Lors du coup de foudre, je vous le concède, vous êtes terriblement attiré de façon magnétique par votre partenaire.
Vous croyez au destin ? Vous n’avez pas tort mais il vous manque peut être une ou deux indications sur ce qui le provoque.
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Je ne voudrais pas casser votre jouet à propos du désir et de la vie de couple. Sachez simplement que les coups de foudre et les envies irrésistibles sont provoquées par le subconscient.
C’est là que sont stockées vos mémoires (pour ceux qui connaissent Ho’oponopono) et c’est lui qui magnétise les personnes que vous avez « besoin » de rencontrer même si vous les vivez comme des évidences et qu’elles correspondent à vos désirs et vos envies.
Sans que vous en ayez conscience, la vie vous pousse vers votre cœur et vous fait adorer les personnes qui touchent très justement vos mémoires difficiles .
La vie n’est pas sadique, elle met sur votre chemin vos blessures qui s’incarnent sous forme de grand amour, afin que vous commenciez à vous rouvrir là où cela a fait terriblement mal.
Ainsi que ce soit par désir, envie ou par besoin, vous tomberez immanquablement sur la personne qui vous oblige à évoluer (si vous acceptez la mission qui vous est proposée).
Voici régulièrement ce en quoi votre grand amour va se transformer non pas pour que vous le (la) quittiez mais pour revisiter certains passages difficiles de votre vie relationnelle depuis que vous êtes né.
Vous aurez la vie de couple qui correspond à vos mémoires. Je vais peut-être vous choquer mais, vu sous cet angle, les mariages arrangés de nos ancêtres ou des pays asiatiques ne sont pas forcément une ineptie.
Tout d’abord, ils sont filtrés par la comparaison des thèmes astrologiques (ou védiques) et ensuite…vous êtes vous-aussi confronté aux mémoires de votre subconscient et de votre arbre généalogique.
Ceci est surtout valable lorsque vous êtes jeune, que vous n’avez pas encore fait de travail sur vous-mêmes et que vos blessures sont toutes fraîches sans avoir été pansées.
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Dès que vous comprenez l’utilité de faire un travail sur soi, vous allégez votre subconscient et les nouvelles relations que vous attirez correspondent à votre nouveau taux vibratoire.
Votre vie de couple correspond bien à votre besoin!
En attendant, si vous n’en êtes pas encore là, sachez que, malgré tout, la relation que vous vivez correspond bien à votre besoin, même si ce besoin est un besoin de « travail » intérieur.
Voici quelques exemples qui vous feront comprendre que celui ou celle que vous attirez vient bien attiser une mémoire qui vous appartient et vous aide à comprendre pourquoi vous souffrez.
- Si vous avez été soumis(e) à un parent culpabilisant et humiliant, vous allez trouver quelqu’un qui vous encense dans un premier temps.
Mais invariablement cette même personne vous descendra en flèche sans transition et au moment où vous vous y attendez le moins.
C’est la mémoire du parent culpabilisant que vous allez travailler au travers de cet homme ou cette femme que vous venez d’attirer dans votre vie.
- Si vous avez eu une mère trop accaparée par vos frères et sœurs pour s’occuper de vous, vous allez trouver un mari (une femme) qui travaille trop ou est très occupé par ses sorties avec les copains (les copines).
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- Si vous avez eu des parents dépassés par les évènements, vous allez rencontrer un homme autoritaire (une femme) dans un premier temps et qui a l’air de diriger et de tout maîtriser.
La réalité, c’est que, vous allez vous retrouver seul(e) chaque fois que vous aurez besoin de soutien.
- Si vous vous êtes senti(e) régulièrement seul(e), que vous vous êtes élevé(e) tout(e) seul(e), vous allez vous marier avec quelqu’un qui se ferme régulièrement et se coupe chaque fois qu’il touche une difficulté émotionnelle.
Vous aurez d’ailleurs tendance à le lui reprocher plutôt que de sentir que cette solitude vous appartient.
- Si vous avez eu des parents irresponsables, vous allez trouver un homme (une femme) gentil mais qui va vite devenir votre 3ème enfant, vous laissant toute la responsabilité.
- Si vous avez vécu, enfant, une forme d’abus qui vous isole de votre vie de famille, vous allez rencontrer à un moment ou à un autre une homme (une femme) ayant une psychose, « addict » aux drogues dures ou présentant des aspects pervers.
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Le (la) fréquenter risque de vous couper du monde, réveiller votre dépendance affective jusqu’à ce que vous retouchiez le malaise et l’isolement dans lequel vous étiez enfant, à cause de cet abus.
- Si vous avez eu des parents qui ne disaient jamais un mot plus haut que l’autre et réprimaient tout de leurs émotions, vous allez vous ennuyer dans vos relations.
Inconsciemment, vous choisirez des partenaires avec lesquels vous allez vous adapter sans vous en apercevoir (la fameuse grenouille dans l’eau bouillante).
Si vous ne connaissez pas l’histoire, je me ferai un plaisir de vous la raconter dans les commentaires.
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Vous allez devenir ce que l’autre veut que vous soyez sans rien remettre en question de la relation.
Lorsque vous arriverez à l’asphyxie de ne jamais être vous-même, vous songerez à partir en racontant que vous ne trouvez jamais chaussure à votre pied.
- Si vous vous êtes occupé d’un de vos parents parce qu’il était trop en souffrance, vieux, jeune, délaissé ou dépressif, vous allez attirer un homme (une femme) qui n’a jamais un sou pour sortir, s’amuser, partir en vacances ou en voyages.
Ainsi vous retrouvez cette atmosphère d’enfant où vous étiez obligé de tout assurer sans collaboration possible si vous voulez vous amuser ou sortir.
- Si vos parents travaillaient fort tous les deux et que c’est plutôt une nounou, un grand frère ou une grande sœur qui vous élevait, vous allez attirer à vous un homme (un femme) qui habite loin ou qui est déjà marié.
- Si vous êtes né, enfant, au milieu d’une fratrie et que vous avez été rapidement détrôné par un petit frère ou une petite sœur qui a pris beaucoup de place, vous allez attirer un homme ou une femme infidèle, afin de revivre à chacune de ses liaisons, l’arrivée d’un frère (sœur) concurrent.
- Si vous aviez un père extrêmement violent, vous allez vous arranger inconsciemment pour ne pas avoir à vivre avec le père de vos enfants.
Je pourrais continuer comme ça les enchaînements de cause à effet : tant que vos blessures ne sont pas soignées, vous les rejouez inconsciemment dans un autre contexte.
Ceci durera jusqu’à ce que vous reconnaissiez la souffrance de l’enfant en vous et que vous acceptiez que c’est cet enfant/subconscient en vous qui attire ces situations fâcheuses.
La vie ne vous veut pas du mal, tant que vous vibrez à cette souffrance, elle attire à vous des situations de même nature. La blessure se rouvre alors et vous pouvez la soigner.
Vous comprenez peut-être maintenant pourquoi je dis que la vie répond à votre besoin: vous avez besoin de revisiter cette partie souffrante de vous-même pour vous libérer.
La vie de couple vous offre cette opportunité. Oui je sais ce n’est pas très vendeur et le mental n’aime pas du tout cette version du besoin !
La vie de couple est une voie initiatique pour arriver plus rapidement au cœur de soi. Si c’est votre cas, vous faites partie des heureux courageux.
Si ce n’est pas encore votre cas, vous ne serez pas déçu maintenant que vous êtes prévenu. Sans compter tous les autres besoins que la relation peut satisfaire!
Et vous, avez-vous déjà vécu une relation amoureuse dite « de travail », c’est à dire qui vous fait beaucoup travailler? Laissez un commentaire!
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